Les jeunes blancs de 15-25 ans, des fascistes en puissance

C'est les vacances, le soleil brille et mon cœur est à l'image de ce temps radieux.

Non, je n'ai pas consommé de Panzerschokolade...

J'ai simplement pris connaissance de l'article du 20minutes sur la montée du nationalisme en Suisse. Lisez plutôt.

20min.ch

C'est un sondage aux résultats inquiétants que dévoilent ce dimanche les journaux «Le Matin Dimanche» et la «SonntagsZeitung». En effet, l'étude réalisée sur 1600 jeunes de 15 à 25 ans montre que ceux-ci se radicalisent de plus en plus.

Selon l'enquête menée par l'Université de Fribourg et celle des sciences appliquées de Zurich, 26% des sondés peuvent être considérés comme xénophobes, 15% homophobes, 10% islamophobes et 8% antisémites. Par ailleurs, c'est dans la tranche des 15-17 ans que l'on dénote le plus fort taux d'animosité, avec notamment 35% de xénophobie et 23% d'homophobie. Ces proportions sont en outre bien plus importantes chez les garçons. Heureusement, plus les jeunes vieillissent, plus ces sentiments diminuent.

Oui, heureusement ! Les adultes découvrent ensuite les vertus de la répression.

Mis à part ça, que de joie à la lecture de ces chiffres ! La marge de progression est toutefois encore importante, notamment sur l'antisémitisme et l'islamophobie. Nous pouvons mieux faire.

Ce qui interpelle le plus les chercheurs, c'est que ces chiffres ont «explosé». En effet, en deux ans, les taux ont fortement progressé, et ce dans toutes les catégories, relatent les deux journaux. «Se distinguer des autres et les dévaloriser est manifestement devenu tendance chez les jeunes», explique le responsable de l’étude, Dirk Baier, qui évoque des «attitudes misanthropes» qui sont «un terreau fertile pour les actes extrémistes».

Comme je hais les sociologues. C'est plus fort que moi.

Là où ce gros gauchiste nihiliste voit des « attitudes misanthropes », je vois un instinct de conservation, un signal extrêmement positif de vitalité dans ce monde en putréfaction avancée baignant dans une incessante propagande dégénérée.

En cause: les catastrophes écologiques, le climat, la guerre ou la situation économique qui sapent la confiance des jeunes. En outre, «la pandémie de Covid ou l'attaque du Hamas du 7 octobre ont entraîné une nette augmentation des positions radicales», selon Dirk Baier. Autant de points qui poussent les jeunes à «se tourner vers des positions extrêmes qui leur procurent un prétendu sentiment de sécurité, parce qu’elles désignent un adversaire clair», abonde le travailleur social Marco Bezjak, président de la fondation Mojuga.

Le climat est responsable de la xénophobie, ce sont les spécialistes des sciences sociales qui le disent et c'est donc vrai. Ces colonnes de migrants et leurs flatulences afro-orientales ont des conséquences anthropiques certaines sur la hausse des températures en Europe.

En outre, si ces jeunes « se tournent vers des positions extrêmes », c'est d'abord et avant tout car ce sont des mâles blancs hétérosexuels valides et pauvres qui se retrouvent, de fait, tout au bas de l'échelle de l'oppression intersectionnelle. Autrement dit, ils sont considérés par la lie marxiste comme étant les plus privilégiés de la société capitaliste, juste au-dessous des mâles blancs hétérosexuels valides et riches.

Auprès des fachos, ces gamins se sentent compris, acceptés et valorisés pour ce qu'ils sont. Les valeurs qu'ils y trouvent exaltent le courage et l'honneur, à des années-lumière du transgenrisme et du métissage qu'ils identifient à juste titre comme étant des menaces existentielles à leur essence.

Nous en sommes convaincus, la libre pensée alternative que nous cherchons à insuffler auprès des jeunes est de salubrité publique. Poursuivons dans cette magnifique ascension vers la sainte haine de l'autre, pour l'amour des nôtres.