Les Suisses en majorité las d'accueillir des réfugiés
Comme on les comprend
Le Haut-Commissariat de l'ONU aux réfugiés (HCR) a récemment publié un sondage en anglais sur les opinions publiques par pays en lien avec les réfugiés.
Voici les résultats compilés pour la Suisse :
- 26% des Suisses pensent que les réfugiés ne devraient pas être autorisés à entrer en Suisse, qu'importe les raisons pour lesquelles ils fuient leur pays.
- 58% des Suisses pensent que la plupart des étrangers qui se présentent comme réfugiés sont des migrants économiques ou des profiteurs du système social.
- 54% des Suisses pensent que les réfugiés ne peuvent pas s'intégrer à la société.
- 53% des Suisses pensent que les réfugiés ne contribuent pas positivement à la société.
- 45% des Suisses pensent qu'ils faut complètement fermer les frontières aux réfugiés et qu'on ne peut pas en accepter davantage.
- 44% des Suisses pensent que la Suisse a déjà accueilli trop de réfugiés en comparaison des autres pays.
- 35% des Suisses pensent que l'aide internationale accordée aux pays qui accueillent des réfugiés est suffisante.
En outre, plus d'un tiers des Suisses pensent que les réfugiés ont un impact négatif sur les services publics (36%), la sécurité nationale (34%) ainsi que sur la culture et le mode de vie suisse (33%). Fort heureusement, ils sont aussi très peu enclins à donner l'opportunité aux réfugiés d'accéder entièrement au regroupement familial (26%) ainsi qu'à la résidence permanente et / ou à la citoyenneté (22%).
Pour illustrer cette situation, prenons la commune d'Arzier-Le Muids.
Début mai de cette année, Blick publiait l'interview de la syndique de cette commune d'environ 3'000 habitants dans laquelle les autorités cantonales voulaient imposer l'accueil de 80 envahisseurs.
La population s'était opposée à cette décision avec une pétition qui avait récolté plus de 900 signatures.
Pour compenser ce refus, la syndique avait lancé un appel aux habitants pour l'accueil d'un migrant chez eux. Le résultat fut le même que celui de la réunion au Bürgenstock : un flop monumental.
C'était prévisible. Quiconque ayant un instinct de survie développé à un niveau ne serait-ce que minimal cherche à se tenir à bonne distance de potentiels cannibales. Qui donc d'assez taré pourrait les vouloir dans sa propre maison, prêts à bouffer femme et enfants ?
Les couples de bobos boomers lausannois bien sûr, ceux-là même qui mettent plus d'énergie dans la poursuite de l'invasion que dans le bien-être de leur descendance.
Mis à part ces vieux et leur besoin compulsif de torcher le cul des plus démunis en provenance du quart-monde, la majorité des Suisses ne veut pas de ces réfugiés, pas même les gauchistes qui militent pour accueillir toute la misère du monde.
Preuve en est les résultats des élections fédérales de 2023. La RTS a réalisé un graphique sur l'évolution des problèmes politiques par importance selon les électeurs depuis 1995.
La corrélation des problèmes liés à l'immigration avec les nouvelles demandes d'asile est parfaite.
Pour rappel, la Suisse s'attend à 55'000 demandes d'asile pour 2024, du jamais vu depuis la Deuxième guerre mondiale. À ce rythme, soyons certains que les élections fédérales de 2027 garantiront un raz-de-marée pour l'UDC.