Les Suisses face aux Slaves sur la question LGBT

Si les masculinistes avaient besoin d'arguments pour les convaincre que les femmes et la politique font bon ménage, en voilà un.

Pourtant, d'après un sondage auprès de la population, les femmes sont moins de la moitié, soit 43%, à vouloir redorer notre registre de l'état civil, contre 35% pour les hommes.

La clé d'explication se trouve dans les autres chiffres présents dans cette analyse.

Le rejet du troisième genre est le plus prononcé chez les 35-49 ans (59%), suivis par les jeunes de 18-34 ans (58%). Avec 56% de refus, les 50-64 ans se montrent légèrement plus ouverts.

Les sales jeunes sont plus réfractaires que la moyenne nationale, quel scandale ! Cependant, tout n'est pas perdu. En effet, la tendance montre que les mœurs évoluent dans le bon sens. En une année, le taux de rejet est passé de 62% à 57%. Nul doute qu'avec de grosses doses de propagande, le troisième genre passera d'ici 2-3 ans.

Les universitaires sont aussi ceux qui accueillent l’idée le plus favorablement avec 52% d’opinions favorables. En revanche, 61% des personnes ayant suivi une formation obligatoire, une école professionnelle ou une école de commerce rejettent la mention «divers» sur les pièces d’identité.

Ces femmes parlementaires, plus tant jeunes et passées par les bancs de l'Université, ont inmanquablement suivit les évolutions sociétales promues au sein de cette institution.

Franchement, les Suisses devraient suivre l'exemple de ces femmes courageuses en étudiant davantage et ainsi faire preuve de plus de tolérance. Avec un vrai bagage universitaire, ils se seraient, eux aussi, précipités à la Pride de Zurich.

Pendant ce temps, loin des sondages, l'armée se pose les bonnes questions.

Et qu'en est-il de la situation de la communauté LGBT plus à l'Est ?

Ukraine

Bonnes nouvelles du côté de Kiev ! Les gouines ont pu profiter de marcher fièrement pendant que les hommes se font trouer le fion sur le front.

Heureusement, un soldat bénéficiant du privilège anal s'est vu octroyer une permission pour aller dandiner du cul auprès des saphiques décolorées.

En pleine guerre, il est important que les soldats LGBT bénéficient des mêmes droits.

Géorgie

Cap sur la Géorgie, pays récemment attaqué par les agitateurs de Soros.

En 30 ans, l'Open Society du juif Soros a financé pas moins de 100 millions de dollars pour la protection des droits humains, la liberté de la presse et l'inclusion des minorités. Ce qui se traduit par les avancées que vous connaissez.

Malheureusement, après moultes événements de politiques intérieurs, le parti au pouvoir s'est imposé face à tous les militants de la liberté.

Ce pays s'inscrit dans la droite ligne de la Russie de Poutine l'homophobe, et c'est parfaitement outrageant.

Russie

En parlant de Russie, sa politique anti-LGBT fait des ravages jusque dans les applications d'apprentissage des langues.

Heureusement, la Suisse reste un havre de sérennité et un bastion du lobby LGBTQPed.