Les Verts rêvent de l'extinction précoce du peuple suisse
Un programme qui fait froid dans le dos
Il y a quelques jours, mon camarade Illya nous apprenait qu’un arbuste kosovar s’apprêtait à lancer une initiative visant à octroyer la naturalisation à tous les résidents étrangers vivant en Suisse depuis cinq ans. Déjà ravi à l’idée que cet arbre clairsemé se permette de vouloir détruire notre système de naturalisation, je suis alors tombé au plus profond des abysses lugubres du gauchisme en lisant un article de mes chers confrères du Blick à propos du nouveau programme électoral des Verts.
Les pastèques et leur cheffe suprême Aline Trede ont décidé de couper l’herbe sous le tronc d’Arber en proposant une annihilation totale de notre système de naturalisation de manière encore plus extrême. Pour eux, un délai de résidence de trois ans uniquement suffirait à obtenir le sésame rouge à croix blanche, y compris pour les demandeurs d’asile. Pire encore, ces mangeurs de graines souhaitent l’établissement du principe du droit du sol, à savoir la naturalisation de toute personne née sur le territoire suisse, fléau absolu en partie responsable de la destruction de l’Afrance.
Difficile de savoir pourquoi ces sauveurs de la planète se donnent autant de mal à vouloir naturaliser des quantités astronomiques de populations exogènes, en sachant qu’ils ne pourront que difficilement compter sur la jeunesse afghane pour grossir leurs rangs (il suffit de voir le peu de diversité au sein du parti).
Peut-être est-ce par peur de voir expulsés des délinquants étrangers sur lesquels fantasment certaines Vertes (ou Verts) en manque de virilité, inassouvies à force de fréquentation intensive d’hommes déconstruits? Ce ne sont bien évidemment que des suppositions.