L'Hürliberlu, commissaire politique au Blick, attaque La Hallebarde et Korab Rashiti

Sacré Hürliberlu !

L'Hürliberlu, commissaire politique au Blick, attaque La Hallebarde et Korab Rashiti

Nouvel article de l'Hürliberlu, un fan absolu de La Hallebarde qui exprime par de la haine son admiration pour notre liberté de pensée qu'il n'est lui-même pas autorisé à user. En psychologie, on appelle cela « l'ambivalence affective ».

Nous avions présenté ce personnage loufoque à nos lecteurs suite à sa piètre couverture de la grève des fentes du 14 juin dernier et des « violences » qu'elles auraient subies de la part de Waffen-SS patrouillant dans les rues lausannoises, bottes bruyantes aux pieds.

Journaliste au Blick, l’Hürliberlu se fait le relais des antifas
Arrêtez de lire ces gauchistes

D'ailleurs, nous sommes toujours sans nouvelle de cette résurgence du nazisme.

Depuis notre article critique de sa déontologie journalistique, les hectolitres d'écume de rage qui s'échappent de la bouche mesquine de l'Hürliberlu n'ont d'égal que les trombes d'eau qui gâchent nos vacances d'été.

L'Hürliberlu, après son passage sur La Hallebarde

Malheureusement, son article est à l'image de la plume de l'auteur : chiant comme la lune.

Pour cette raison, nous allons ici reproduire uniquement les passages dignes d'intérêt. Et par « intérêt », nous souhaitons particulièrement attirer l'attention de nos lecteurs sur son attitude de commissaire politique dont il est bien malheureusement coutumier.

Le député de l’Union démocratique du centre (UDC) au Grand Conseil bernois Korab Rashiti se revendique libertarien. Il plaide, par conséquent, pour une liberté d’expression absolue. Quitte à choquer, agacer… et franchir la ligne rouge?

Parler de « ligne rouge » est en soi déjà une preuve de soumission intégrale à un système idéologique auquel l'Hürliberlu souscrit allégrement.

« Sans liberté de pensée, il ne peut y avoir de sagesse, ni de liberté publique sans liberté d'expression. »
Benjamin Franklin
L’élu francophone, dans une interview accordée le 4 juillet à la plateforme d’extrême droite La Hallebarde, ne fait pas dans la dentelle. Notamment concernant Junge Tat. Un groupuscule visiblement apprécié par la direction des Jeunes UDC mais qualifié de «néonazi» par Lionel Dugerdil, président de l’UDC Genève.

Ça commence effectivement très mal. Nous ne sommes pas une « plateforme d'extrême droite » (au secours), mais un média totalement fascistissime. Par pitié, arrêtez de nous affûbler de ces étiquettes stupides qui n'ont sens qu'au sein même de la démocratie, elle-même encore plus stupide.

Ensuite, convoquer les propos d'un pisse-froid de l'UDC genevoise pour qualifier Junge Tat, c'est tomber dans le fond des chiottes turques du pigisme de bas étage.

Le député, qui a grandi à Bienne avant de s’établir à Gerolfingen, ne débite pas non plus des stères de langue de bois lorsqu’il est interrogé sur les figures de son parti. La Hallebarde, fidèle à son discours rance, le lance sur Clémentine Merminod, femme transgenre et secrétaire des femmes romandes de l’UDC: «Que vous inspire la nomination d’un homme biologique à la tête des femmes UDC romandes? Ne serait-ce pas encore une preuve que le transgenrisme finit toujours par remplacer les femmes par des hommes, eussent-ils une perruque et du maquillage?»

Excusez-moi, mais « rance » me fait davantage penser au nid de cigogne qu'arbore l'Hürliberlu en guise de coiffure que notre discours d'une implacable limpidité.

Suite au titre de cet article « Ce député UDC confie son soutien aux « néonazis » de Junge Tat », notre invité Korab s'est insurgé contre l'Hürliberlu.

Les commentaires valent le coup d'œil​. Ce sont des tonnes à lisier remplis de purin frais qui aspergent ce pauvre Hürliberlu.

Ses culs-de-bouteille encore pleins d'excréments macérés, il s'est vu dans l'obligation de donner un droit de réponse à Korab. Même la Stasi n'aurait pas osé poursuivre un tel entretien.

Dans la tempête, Korab Rashiti, député de l’Union démocratique du centre (UDC) au Grand Conseil bernois, tient à clarifier son cap. Selon lui, son entretien accordé à la plateforme romande d’extrême droite La Hallebarde, dans lequel il dit soutenir «les actions rhétoriques» du groupuscule identitaire Junge Tat contre «l’idéologie woke», ne doit pas être compris comme un appui à l’organisation surveillée par les autorités qu’il qualifie lui-même au bout du fil de «néonazie».

Au vu des réactions de la plèbe, l'Hürliberlu est bien le seul à être dans la tempête qu'il a lui-même intentée. Et je me répète, ARRÊTEZ avec cet odieux qualificatif « d'extrême droite ».

Par contre, à titre personnel, je suis un peu déçu que Korab reprenne les éléments de langage des gauchistes. Il est ridicule et intellectuellement dévalorisant de qualifier Junge Tat de « néonazie ». Les mots ont un sens.

Sans reprendre le reste de l'entretien, analysons ensemble les questions qui n'ont pour seul but de ramener la brebis albanaise égarée dans l'enclos de la pensée unique chère à l'Hürliberlu.

On commence par une question directe :

Korab Rashiti, soutenez-vous le groupuscule identitaire Junge Tat?

Puis, on enchaîne avec une pseudo contradiction :

Dans cet entretien, vous dites pourtant précisément soutenir «les actions rhétoriques» de Junge Tat contre «l’idéologie woke». Vous n’assumez plus vos propos?

Ensuite, on met face à une position prise par une figure d'autorité. Arrêtons nous sur la réponse de Korab à cette question :

À l’instar de votre camarade Lionel Dugerdil, président de l’Union démocratique du centre (UDC) Genève, diriez-vous que Junge Tat est une organisation néonazie?

Faisons de la sémantique. Le terme «néonazi» veut dire nouveau national socialisme. Dans l’entretien que je donne à La Hallebarde, je critique justement l’approche trop étatisée de Junge Tat. En cela, il est donc correct de qualifier cette organisation de néonazie. C’est un immense problème.

Ici, Korab commet la grossière erreur de valider l'injonction de l'Hürliberlu, qui plus est à l'aide d'une pirouette sémantique franchement pas convaincante.

Sans même faire preuve de courage en réfutant ce qualificatif de « néonazie », il aurait été plus judicieux de simplement refuser d'occuper la position de juge moral et camper sur une position de neutralité.

Cette erreur permet ensuite de faire monter la pression en capitalisant sur cette position de retrait :

Mais n’est-ce pas également un problème que d’apporter son soutien, même partiel, à une organisation que vous qualifiez vous-même de néonazie?

Enfin, on termine en nous réinsultant au passage (je n'en peux plus) :

En discutant avec une plateforme d’extrême droite telle que La Hallebarde, n’entretenez-vous pas au contraire le flou autour de votre positionnement?

Je l’ai fait pour les mettre face à leurs contradictions. Il ne faut pas les stopper, mais leur apporter des réponses libérales. Je crois sincèrement que la seule voie est le dialogue démocratique. Aux invectives, je préfère les arguments.

D'après l'Hürliberlu, Korab devient « flou » lorsqu'il nous adresse la parole. Peut-être serait-il temps de changer d'ophtalmo ?

Nous tenons encore à rappeler que notre entretien avec Korab était une condition à la publication de son article sur le libertarianisme sur notre média malgré nos divergeances envers ce mouvement idéologique.

Et si la restauration était gérée comme la santé? Quels seraient les résultats?
Texte du député UDC Korab Rashiti

Nous apportons notre soutien à Korab qui, contrairement à bien d'autres politiciens, a montré qu'il en avait dans le froc pour oser s'afficher avec nous.

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