L'ouragan Katrina, phase terminale du cosmopolitisme

Quand un ouragan révèle le monstre dans la pièce

L'ouragan Katrina, phase terminale du cosmopolitisme

Cet évènement passé en partie sous silence avec l'appui habituel des médias est en réalité une catastrophe humaine gigantesque pour qui voudrait bien l'entendre.  

Déroulement des évènements

La Nouvelle Orléans est composée de 67% d'afro-américains, la moitié d'entre eux sont pauvres. Selon les estimations, sur les 480'000 habitants, seuls 100'000 d'entre eux, dont une majorité d'afro-américains peu aisés, sont restés en ville malgré les indications des autorités compétentes. L'ouragan frappe le 29 août 2005, 80% de la ville se retrouve alors sous 6 mètres d'eau. Le stade de football de la ville est désigné comme refuge public avant l'arrivée de l'ouragan, plusieurs milliers de personne rejoignent ce lieu disposant de nourriture et de matériel médical. De plus en plus de gens souhaitaient rejoindre le stade car très vite, la ville sombre dans le banditisme.  

Photographie de l'état de la ville après le passage de l'ouragan
Scènes de pillage

Un journaliste y décrit l'atmosphère, les gens détruisent et volent, en masse. Des femmes sont piétinées et laissées pour compte, dans un chaos balayant l'entraide générale. Des policiers afro-américains sont filmés en plein pillage par la NBC, les gens se mettent à voler davantage en se calquant sur la police. Vols, viols et meurtres deviennent la norme, le maire de la ville tente d'envoyer des policiers en renfort mais une partie d'entre eux refuse en assurant ne pas vouloir affronter les pillards et mourir pour rien. Deux policiers, dont un haut gradé, se suicident d'une balle, préférant la mort au chaos. Une partie des policiers déjà sur place refuse d'aider les habitants en danger. Il est important de noter que la ville en question n'a eu que des maires afro-américains depuis 1978 et a tout fait pour accueillir le plus d'afro-américains dans sa police, et ce au détriment des blancs.

Le 5 septembre, tout juste une semaine après l'ouragan, le maire décide d'envoyer ses pompiers, secouristes et policiers à Las Vegas pour se reposer tandis que la ville baignait toujours dans un enfer permanent. Selon divers témoignages, les pillards tirent sur tout ce qui bouge, des secours à la police. Les interventions sont rendues encore plus dangereuses et les transports de blessés deviennent des cibles.

L'armée est envoyée pour reprendre la ville des mains des pillards et des bandits, cependant, contrairement à la fermeté annoncée, les soldats se retrouvent parfois sous-armés face à l'arsenal des pillards. Philip Baccus du 527ème Engineer Batalion s'exprime sur la situation :

« Je n'aurais jamais pensé que je devrais porter une arme lors d'une mission de secours après un ouragan. C'est une honte. »
L'armée sur place

Le principal lieu d'accueil des habitants, nommé Superdôme, accueille rapidement plus de 25'000 personnes, la température atteint jusqu'à 40°C, la situation dégénère très vite.

Intérieur du Superdôme

En effet, le stade se change en jungle, des jeunes volent et violent sans être inquiétés, des tirs d'arme à feu sont entendus, des gens se jettent des tribunes pour en finir, éclaboussant ainsi le sol de leur reste. Simultanément, les corps des nouveaux nés et des personnes âgées touchées par la chaleur s'accumulent sur le sol. Des témoins ajoutent que des drogués au crack se battent entre eux, certains se tuent à coup de barre de métal. Les 50 policiers présents pour assurer la sécurité du lieu sont impuissants et n'utilisent pas leurs armes par peur de la foule.

Au sein de ce stade, se trouvent quelques blancs, dont un groupe de 30 étudiants britanniques, l'un d'eux, James Trout, 22 ans, témoigne :

« Les gens nous criaient des injures raciales pour le simple fait que nous étions blancs. »

Ce groupe finira finalement par être déplacé par des militaires qui iront à l'encontre des ordres. Des touristes australiens s'organiseront pour se protéger entre eux, ils mettront en place des gardes de nuits et des escortes pour permettre aux femmes de leur groupe d'aller aux toilettes sans se faire tuer ou violer. Les touristes racontent qu'ils savaient qu'ils se feraient tuer si les lumières du stade avaient lâché. Inutile de préciser qu'aucun média américain n'a daigné raconter ce que les occidentaux ont vécu dans ce stade. 

Néanmoins, ce qui s'est passé dans ce stade n'est rien en comparaison aux évènements ayant eu lieu au Convention Center. 20'000 personnes s'y sont réfugiées. Le lieu n'ayant pas été désigné comme un refuge, les autorités ont mis du temps à découvrir ce qu'il s'y passait. L'endroit était pris par des gangs, les vols, viols et meurtres y étaient courants. Il aura fallu attendre le 2 septembre, et 1'000 hommes pour régler la situation.

Des témoins sont entendus, les hommes se promenaient le soir, violant et tuant les enfants qu'ils trouvaient. Toujours selon une témoin :

« Un autre enfant, un petit garçon de 7 ans, avait été retrouvé mort, violé et tué dans le congélateur la nuit précédente. »

Les femmes sont violées puis égorgées froidement. Parmi les rares blancs présents sur place, Selma Valenti, 82 ans, raconte en pleurant :

« Ils nous haïssent. Quatre jeunes noirs me dirent que le bus viendrait nous chercher mais qu'ils nous tueraient avant. »

Après le 4 septembre, les gangs continuent leurs exactions, se promènent en pick-up, pillent et violent impunément, malgré la présence de 50'000 soldats et secouristes envoyés dans la ville pour faire le ménage et ramener l'ordre. Un vétéran témoigne :

« C'est vraiment comme en Irak, c'est drôle, sauf qu'il y a de l'eau partout et qu'ils parlent en anglais. »

Réactions politico-médiatiques

Les vidéos des médias n'ont pas pu cacher la surreprésentation des noirs dans les exactions commises et les services de secours presque tous blancs, ce qui a fortement déplu à une des deux parts de la population, qui a tout de suite hurlé à la propagande médiatique qui aurait subtilement caché les saccages commis par les blancs. Comme à chaque fois que certaines « minorités » se révèlent ignobles dans leur comportement, la caste politique vient à son secours.

La sénatrice Diane Watson, dans un élan de courage, se porte au secours des pillards et violeurs d'enfants :

« Les personnes désespérées font des choses désespérées. »

Jesse Jackson Junior suit le mouvement :

« Qui sommes-nous pour dire ce que sont la loi et l'ordre dans ces temps si difficiles ? »

Melvin Watt termine le travail de ses collègues démocrates :

« Même si on a pillé, toutes ces choses n'auraient pas pu être utilisées de toute façon. »
Soldats ethniquement homogènes en action

Comme si ce n'était pas suffisant, beaucoup d'afro-américains se sont mis à expliquer la lenteur des secours en les accusant de racisme, la machine victimaire était en marche. Certains activistes noirs n'ont pas hésité à définir le pays comme « une fraude monstrueuse » en jouant sur le discours de victimisation des noirs contre les méchants blancs. Carolyn Kilpatrick représentante démocrate au Michigan, annonce avoir « honte de l'Amérique et de son gouvernement ».

Le maire de la Nouvelle-Orléans, après avoir envoyé ses hommes à Las Vegas, s'est énervé contre les fédéraux et leur supposée lenteur. Cette lenteur des secours en vient même à être considéré par certains comme un « génocide noir », insupportable dans une Amérique « construite par les afro-américains ».

Cependant, Leighton Levy, afro-américain également, propose une autre version. Selon lui, si les blancs ne pillent pas, c'est qu'ils attendent les secours en se cachant des noirs, il en vient à cette interrogation :

« Je commence à me demander si le peuple noir, où que ce soit dans le monde, est maudit ; il a une prédisposition génétique pour voler, tuer et semer la désolation. »

Ce qui frappe également, dans les récits et témoignages de cet évènement, réside dans le refus catégorique d'une grande partie des afro-américains de la ville, à suivre les recommandations gouvernementales. Que ce soit avant l'ouragan, lorsque le maire n'a pas vraiment fait tout ce qu'il aurait pu pour organiser le départ des habitants de la ville, ou lors de missions de sauvetages, lorsque que certains refusent de rejoindre les secours, demandant simplement des provisions, dans une ville sans électricité, égouts, transports et nourriture. Des bateaux de croisière mis à disposition comme abris finiront par convaincre certains habitants à se mettre à l'abri, peut-être était-il simplement question de confort.

Une minorité de noirs a pu commettre des exactions, toujours est-il que cette minorité a plongé la ville dans une ambiance de mort. Pour Jared Taylor, écrivain et fondateur d'American Renaissance :

« Quand les noirs sont entièrement livrés à eux-mêmes, la civilisation occidentale – n'importe quelle civilisation d'ailleurs – disparaît. Et en temps de crise, elle disparaît instantanément. »

Cet évènement et ces témoignages permettront sans doute à certains de réaliser ce qu'ils peuvent illustrer des relations cosmopolites tant désirées par nos élites, si certains ne verront pas l'immense péril que cette société représente, d'autres, au moins, seront préparés à réagir. La solidarité blanche doit redevenir un réflexe pour se protéger des dangers à venir. 

Cet évènement est raconté avec plus de précisions dans le livre « Si nous ne faisons rien » De Jared Taylor, ouvrage qui comporte ses meilleurs essais et analyses sur 25 années. Si vous souhaitez, par exemple, en apprendre davantage sur le danger que rencontrent les blancs américains dans leur pays, alors ce livre vous conviendra parfaitement.

Dans une interview accordée à Breizh-info.com, l'auteur résume la ligne qui est la sienne : 

Breizh-info.com : En France, la presse mainstream vous qualifie de « suprémaciste blanc » Qu'est-ce que le suprémacisme ? Est-ce un courant dont vous vous revendiquez ?
Jared Taylor : Qu'est-ce que c'est qu'un suprémaciste blanc ? Pour moi, c'est un Blanc qui veut dominer les autres races, régner totalement sur elles. Je n'ai jamais rencontré une telle personne.

Je suis identitaire. Je réclame le droit de vivre avec d'autres Blancs dans une communauté ou dans un État majoritairement ou exclusivement blanc, où nous pouvons poursuivre notre destin unique. Tout peuple possède le même droit. S'il y a des gens qui veulent vraiment vivre d'une manière multiraciale, tant mieux pour eux, et je ne les en empêcherai jamais. Mais ils n'ont pas le droit de diaboliser les identitaires et de les forcer à vivre d'une manière inauthentique et finalement suicidaire.

Le Major

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