L’UE supplie la Chine de boycotter la Russie
Encore de grosses larmes de crocodile
A l’instar des cours du brut, le niveau de fragilité atteint des sommets.
L’UE prie la Chine de « ne pas interférer » dans les sanctions
A l’occasion d’un sommet virtuel avec la Chine, les représentants de l’Union européenne ont appelé Pékin à « ne pas interférer » dans les sanctions occidentales visant la Russie. Bruxelles a fait savoir que tout soutien à Moscou « ternira gravement la réputation » de la Chine en Europe, a indiqué la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
« Les entreprises regardent comment les pays se positionnent (…) Aucun citoyen européen ne comprendrait que (la Chine) soutienne la capacité de la Russie à poursuivre sa guerre » en Ukraine, a-t-elle indiqué à l’issue de ce sommet en visioconférence avec le président chinois Xi Jinping.
Comme si les médias de masses occidentaux ne traînaient pas systématiquement la Chine dans la boue, qu’il s’agisse de son manque de pratique démocratique ou de son intransigeance sur le principe d’une seule Chine, qui veut que le Tibet, Taïwan et Hong-Kong fassent partie intégrante de la République Populaire de Chine pour espérer faire du commerce avec les Chinetoques, principe que les Européens acceptent hypocritement en dépit de leurs belles valeurs humanistes. Normal me direz-vous, après avoir transféré dans l’Empire du Milieu les industries indispensables à nos économies.
Il y a aussi cette histoire d’Ouïghours persécutés dans le Xinjiang. Pour rappel, les Yoghourts sont un peuple turcophone qui commet de temps à autres des attentats au nom d’Allah dans la Chine occidentale. Le caractère de l’Homme jaune étant par nature moins propice à l’auto-culpabilisation, il ne se prive pas d’employer les grands moyens pour retirer ce caillou dans la chaussure, souvent d’ailleurs à grand renfort de puissants et majestueux bulldozer contre les mosquées dans lesquelles ces Yoghourts se radicalisent.
Quelle indignité que de larmoyer auprès de la future première puissance mondiale en visioconférence en la menaçant sur sa réputation. Il n’y a que les Européens de l’Ouest qui se soucient de leur image au point tel de se faire remplacer par des envahisseurs en provenance du tiers monde, par peur d’être traités de racistes. Que ces gens dégagent et laissent la place à des personnalités viriles pour qu’advienne une Europe politique unie, maîtresse de son destin, libre de la domination américaine et, in fine, de la finance internationale.
