L'UNIGE veut savoir si des gamins de 5 ans ont transitionné
C'est encore trop vieux
Je n'en peux plus de ces étudiants en fac de psycho.
«Avec quel genre votre enfant s'identifie-t-il/elle?» «Quel était le sexe de votre enfant à la naissance?» Ces questions ont fait bondir certains parents d'élèves de l'école primaire Carl-Vogt, où le document a été distribué dans le cadre d'une recherche menée par l’Université de Genève (Unige).
Ces gauchistes suivent leurs directives inclusives sans se préocupper un seul instant de la réaction des parents pas tout à fait acquis aux dernières thèses à la mode dans le milieu univesitaire genevois dégénéré.
Si le Département de l'instruction publique (DIP) avait autorisé cette étude portant sur la mémoire, la digression sur les questions de genre est mal passée auprès de sa patronne. «Ces questions interpellent Anne Hiltpold, qui considère qu'elles ne sont pas pertinentes, et cela sera rediscuté avec ses services», indique le DIP, cité par Watson. Il y a peu Anne Hiltpold était déjà intervenue pour le cas d'une école qui souhaitait remplacer la traditionnelle Fête des mères par la Fête des gens qu'on aime, afin de s'inscrire dans «la mouvance actuelle traitant de l’inclusion des genres et de l’égalité femme/homme».
Il ne faudrait pas heurter la fragilité des pères.
Le porte-parole de l'Unige, Marco Cattaneo, lui, évoque «une formulation maladroite», pouvant «évidemment heurter hors des cercles spécialisés». Et d'assurer que «l’Université portera une attention renforcée à la collecte de ce type d’information, et à la façon dont elle est faite.»
Comme l'a rapporté mon camarade Helvète solide, Genève a récemment mis un frein au lobby des fesses. Il serait temps qu'il en fasse de même à l'échelon des « cercles spécialisés », euphémisme pour parler des tarés qui officient dans les universités.