Martigny : la fête des MST est l'occasion de militer pour la tyrannie LGBT
Le Bal de l'horreur en Valais
Rendez-vous à Martigny pour y voir des corps gras et disgracieux enrobés dans des collants fluos trop petits, laissant s'échapper les bourrelets adipeux de skinny-fat trithérapiques et dépressifs.
Je ne parle malheureusement pas de la Foire au Lard, mais bien de la Gay Pride. Le budget de la sécurité se monte à 180'000 francs. C'est dire leur cote de popularité.
À l'occasion de cette édition 2024, la section syphilis valaisanne a décidé de reprendre les revendications de la section chlamydia genevoise. « Délirantes » n'est pas un terme suffisamment fort pour qualifier ces exigences. Malheureusement, j'ai bien peur que les autorités homosexuelles de ce pays y soient largement favorables.
En résumé, l'arsenal légal du privilège rectal doit être renforcé afin d'accentuer encore plus la répression, tout en introduisant un nouvel impôt pour garantir la sécurité des travelos, le financement des transitions et des officines communautaires haineuses. Il est aussi question de légaliser la GPA et de supprimer la filiation biologique pour saccager le registre de l'État civil, ceci pour profiter de violer des enfants en toute sérénité.
L'État doit bien évidemment devenir un sanctuaire pour tous les séropositifs de la Terre potentiellement persécutés dans leur pays et s'ingérer politiquement pour sidaïser des États encore trop hétérosexuels d'après les standards du lobby de la rondelle. Devenir une sorte de diplomatie anale afin que la Suisse éclabousse de 1'000 semences à l'international, telle est notre mission rédemptrice de l'anus des nations conservatrices.
Sinon, du côté de Bâle, nos artistes tentent de rivaliser avec le plug anal vert de la place Vendôme à Paris.
Ça fait très mal de l'admettre, mais la Suisse est quand même devenue un pays d'immenses tafioles.