À quatre contre une, les antifas brillent de mille feux

Le titre ne comporte aucune erreur, la victime est bien une femme seule attaquée par quatre sales ratés membres du groupe terroriste antifasciste.

Le déshonneur de l’extrême gauche s’est à nouveau manifesté de manière éclatante samedi dernier à Erfurt. Non sans difficultés, ce commando de pacotille est parvenu à se défaire de la jeune femme qui tenait le magasin en usant notamment d’une matraque télescopique et d’un spray au poivre. L’issue aurait été incertaine s’ils n’avaient pas, en plus, profité de l’effet de surprise en l’attaquant par-derrière. Le courage est à relever. Mais qu’importe, c’était une Nazie, l’envoyer à l’hôpital avec fractures faciales était la moindre des choses.

Voici la vidéo qui témoigne de la perfidie de ces ordures intégrales :

La déshumanisation des partisans de l’idéologie de l’Ordre (nommés «fascistes» par simplicité) qui découle du discours de l’extrême gauche conduit ses militants à passer par-dessus leurs idéaux humanistes et égalitaires jusqu’à violenter une femme, voire même commettre un féminicide.

À l’inverse, les «fachos» de l’extrême droite ont un code d’honneur procédant d’une vision naturaliste et donc inégalitaire de l’homme et de la femme. C’est justement ce pourquoi ils n’auraient jamais perpétré un acte aussi indigne.

Face à cette abjecte agression à l’encontre de cette camarade allemande, voilà que je me retrouve possédé par l’esprit de Zola:

J’accuse l’idéologie égalitariste qui fait fi des différences intrinsèques à la nature elle-même et dont se servent ces moins-que-rien pour justifier la violence physique contre une adversaire.

J’accuse les responsables du magasin qui, tout en sachant qu’il était régulièrement victime d’attaques de cette engeance de sent-la-pisse, ont laissé une femme seule en situation de danger.

Et pour finir, j’accuse les États occidentaux qui laissent se perpétuer ce genre d’action en refusant de considérer la mouvance antifasciste comme ce qu’elle est réellement: terroriste.

La réponse correctionnelle à apporter doit être à la hauteur de la lâcheté de ces fils de bourgeois ravagés par le marxisme et la surconsommation de psychotropes. Malheureusement, le zèle des policiers et des juges n’est pas identique lorsqu’il s’agit d’appréhender et de traduire en justice des agresseurs antifas comparés à des nationalistes en marche pour la Vendetta.

Que ces sous-hommes commencent à trembler. La déesse de la vengeance réclame justice.