Paneuropéanisme: pour une indépendance énergétique
L'avenir d'un monde radieux pour les Blancs
Mettons de côté un instant l'évidente volonté d'une homogénéité ethnique pour parler d'un autre aspect du paneuropéanisme, celui de l'approvisionnement énergétique. Au XXI siècle, cette question ne peut se limiter à la politique d'une seule nation et doit être pensée à l'échelon du continent.
En vu de son extrapolation, penchons-nous sur le cas de la Suisse et la soudaine prise de conscience par ses élites d'un futur grave problème d'approvisionnement si rien n'est fait pour régler cette question.
En effet, en 2017, les Suisses avaient stupidement suivis les socialistes sur l'abandon du nucléaire.
Comme chaque fois avec les gauchistes, ils agissent par pure idéologie sans réfléchir aux conséquences de leurs actions. Pour aller au bout de leur réchauffisme et atteindre la neutralité carbone, nous allons maintenant devoir nous passer du pétrole et du gaz.
En soit je ne suis pas contre. Se passer d'énergies fossiles, c'est aussi se débarasser de la dépendance aux pétromonarchies et autres États hostiles à la réalisation de l'objectif des nationalistes paneuropéens : l'autarcie continentale.
Des scientifiques de l'EPFL et de l'Empa ont tenté de savoir quels impacts auraient la suppression des ces sources d'énergie par rapport à notre consommation future.
S’affranchir du pétrole et du gaz s’annonce beaucoup plus complexe que les autorités ne l’imaginent. C’est la conclusion à laquelle sont arrivés des chercheurs de l’EPFL et du Laboratoire fédéral d’essai des matériaux et de recherche (Empa) dans une étude publiée dans la «SonntagsZeitung».
Les scientifiques estiment que la demande annuelle d'électricité de la Suisse augmentera d'environ 80% d'ici à 2050, passant aujourd'hui de 60 à 110 térawattheures. Ces prévisions sont nettement supérieures à celles de l'Association des entreprises électriques suisses (AES). Celle-ci estime la consommation d’électricité pour l’année 2050 à «seulement» 80 à 90 térawattheures. L'estimation des perspectives énergétiques de la Confédération est encore plus basse: 76 térawattheures.
En attendant la fusion nucléaire, la production d'hydrogène vert par électrolyse ou des batteries au sodium, nous aurions pu nous contenter de profiter des hydrocarbures à bas prix que nous fournissait la Russie si les opportunistes vendus à la finance internationale officiant au sein de la bureaucratie que l'on nomme Union Européenne n'avaient pas, par leurs actions, rompu toutes relations commerciales avec la Russie pour la jeter dans les bras de la Chine.
Maintenant que nous avons été mis face à ce fait accompli, nous sommes forcés de trouver une alternative qui garantisse notre indépendance énergétique et qui soit suffisamment efficace et performante pour combler les besoins d'énergie auxquels nous allons inévitablement faire face à moyen-terme.
La reprise des relations diplomatiques avec les Russes ne se fera pas avant longtemps et nous ne pouvons avoir la certitude que leurs élites post-Poutine nous pardonneront facilement les torts que nos traîtres leur ont infligé en nos noms.
L’étude parvient également à la conclusion que les prix de l'énergie augmenteront d'au moins 20%. Pour les chercheurs de l’EPFL et de l’Empa, les installations solaires et les éoliennes, bien qu’importantes pour la transition énergétique, sont loin d'être suffisantes pour l'électrification du parc automobile et le remplacement des systèmes de chauffage au fioul par des pompes à chaleur.
Mise à part la Norvège, le sol de l'Europe ne contient pas de pétrole et ses réserves de gaz ne suffisent pas à combler la consommation totale du continent. Dès lors, l'électrification semble être la meilleure option si l'on tient compte des actuelles politiques de production nationales des différents pays européens.
Cependant, tout miser sur les énergies intermittentes comme le solaire et l'éolien relève de l'impossible alors que le seul parc automobile à horizon 2050 sera quasi exlusivement composé de voitures électriques d'après le rapport de l'Association des entreprises électriques suisses.
De plus, des projets ambitieux à échelle européenne comme les voyages ultra rapides en Hyperloop nécessiteront inévitablement de la ressource énergétique.
Le patronat a bien compris cela et rappelle à juste titre que le nucléaire est une énergie décarbonnée que nous avons le devoir d'utiliser.
Afin de disposer de suffisamment d’électricité d’ici à 2050, les scientifiques estiment qu’il faudrait, après l’arrêt des anciennes centrales nucléaires, huit nouvelles grandes centrales électriques en plus des centrales hydroélectriques existantes. Chacune devrait produire autant d’électricité que la centrale nucléaire de Gösgen. Selon l’étude, la construction d’une nouvelle centrale nucléaire serait, au final, l’option la moins coûteuse.
Il serait donc temps de construire cette nouvelle centrale nucléaire, étant donné que nous procéderons à la désaffectation de la dernière centrale d'ici 20 ans.
Espérons que le peuple démocrate reprendra ses esprits et votera en faveur du retour du nucléaire, seule façon de subvenir aux besoins énergétiques qui nous attendent dans les décennies à venir. En plus, ça a aura le mérite d'énerver les Verts.