Pfäffikon: des parents d'élèves font virer un gay de l'éducation sexuelle
Des parents sûrs d'eux-mêmes et dominateurs
Une école zürichoise résiste encore et toujours à l'envahisseur woke.
Un énorme scandale entoure l'École primaire Obermatt à Pfäffikon. Plusieurs parents d'élèves, ouvertement conservateurs, avaient mis la pression sur l'administration scolaire, car ils ne supportaient pas qu'un enseignant gay donne des cours d'éducation sexuelle à leurs enfants, quand bien même il s'agissait de l'une de ses obligations. Finalement, le prof avait vu son contrat de travail s'achever prématurément.
Évidemment, quel parent avec un tant soit peu d'amour à l'égard de son enfant souhaiterait qu'un type aux pratiques sexuelles déviantes promulgue ses conseils répugnants provenant de ses plus infâmantes expériences ?
Pour en savoir plus, la RTS a lancé un grand sondage. L'éducation sexuelle, doit-elle se limiter à une vision biologique rétrograde d'ultra droite ou offrir une vision plus large, adaptée à l'évolution des mœurs anaux ?
Dans un article publié ce jour, nos confrères de «20 minuten», citant des médias locaux, expliquent que l'administration scolaire reconnaît, pour la première fois depuis que l'affaire a été rendue publique, des «irrégularités dans le processus entre la direction de l'école, le responsable de la formation et la commission scolaire, ainsi que le non-respect des règles de procédure et des directives». Elle ajoute toutefois que le licenciement ne serait pas dû au cours d'éducation sexuelle. Les raisons seraient complexes et remonteraient loin dans le temps.
La direction de l'école n'envisage toutefois pas de désigner des responsables, car cela ne correspondrait pas à sa façon de gérer les erreurs. Mais, afin de tirer des leçons de cet «incident», elle prévoit de revoir ses processus avec un soutien externe et «d'élaborer un code de conduite sur les contenus socialement controversés».
Les militants contre la haine veulent un coupable à lyncher en place publique.
Du côté de la presse romande, les homosexuels de Tamedia sont effondrés.
Ces explications n'ont guère convaincu. Une alliance de militants de plusieurs partis et associations vient d'ailleurs de se former pour contester la décision. Dans un communiqué, l'alliance affirme que l'école «a cédé à la pression de la haine et de la discrimination, envoyant ainsi un signal sans équivoque: à Obermatt, il y a apparemment de la place pour la discrimination queer.» Une manifestation est organisée samedi à 14h, à Pfäffikon.
L'école Obermatt est encore protégée des délires LGBT. Hélas, plus pour longtemps, car le lobby ne tolère pas que des enfants échappent à sa propagande pédophile.
Soutien à la direction de l'établissement.