Pfäffikon: le directeur qui avait voulu protéger les élèves du prof gay contraint de démissionner
Encore une victime du lobby de la rondelle
En avril dernier, un courageux directeur d'une école de Pfäffikon avait su entendre les inquiétudes de parents concernant un inverti qui dispensait des cours d'éducation sexuelle à leurs enfants.
L'affaire a eu des suites malheureuses pour ce brave homme.
Ils étaient nombreux à demander sa démission après le licenciement d'un enseignant homosexuel, mi-avril. Sous la pression, le directeur de l'École primaire Obermatt à Pfäffikon (ZH) a finalement jeté l'éponge avec effet immédiat. L'homme explique sa décision par «la lourde charge de travail au sein de la direction, à laquelle s'est ajouté un conflit scolaire complexe avec des demandes de démission et une couverture médiatique qui a duré des mois et qui a dépassé mes forces».
Face à la machine médiatique totalement acquise au suprémacisme anal et au harcèlement par toute la chiasse dégénérée pullulante dans le canton de Zurich, le pauvre directeur n'avait aucune chance.
Il y a quelques semaines, un enseignant avait été pris pour cible par des parents d'élèves conservateurs en raison de son homosexualité. Ces derniers ne supportaient pas qu'un prof gay donne des cours d'éducation sexuelle à leurs enfants, bien que cela faisait partie des ses obligations. Ils avaient alors mis la pression sur l'administration scolaire et l'enseignant avait vu son contrat de travail s'achever prématurément.
Nous répétons ce que nous avions déjà écrit dans notre précédent article : aucune personne sensée ne souhaite qu'un potentiel adepte de chemsex orgiastique donne des cours ayant trait à la sexualité à des enfants.
Mais une alliance s'était ensuite vite formée entre la Jeunesse socialiste régionale, les Jeunes Verts et d'autres organisations, qui ont manifesté contre la décision de la direction de l'école. Des débats de fond ont été engagés, qui ont largement dépassé ce cas particulier: «Dans quelle mesure les parents ont-ils leur mot à dire?» ou encore «Dans quelle mesure les écoles ne doivent-elles pas protéger leurs enseignants?». Après quoi l'école a fini par admettre ses erreurs.
Les jeunes de gauche sont les idiots utiles et principaux vecteurs de l'idéologie LGBT dont le but final est, nous le rappelons, la normalisation de la pédophilie dans la nouvelle société reconfigurée autour du trou de balle.
En mars 2023, la Cour internationale de justice (CIJ) et la branche sidaïque de l'ONU (ONUSIDA), ont publié un document en anglais nommé « 8 March Principles » (Les principes du 8 mars), dont le principe N°16 indique clairement :
En ce qui concerne l'application du droit pénal, tout âge minimum de consentement à une relation sexuelle doit être appliqué de manière non discriminatoire. L'application de la loi ne peut être liée au sexe/genre des participants ou à l'âge de consentement au mariage.
Face au scandale suscité sur les réseaux sociaux, la CIJ s'était vu forcer de rédiger un communiqué pour expliquer que les gens avaient mal lu ce qui était écrit noir sur blanc.
Mais de son côté, l'enseignant ne s'est toutefois pas laissé décourager. «J'aime mon travail. Et je ne laisserai personne gâcher cela», avait-il confié. Et pour cause, il a déjà retrouvé du travail. Un nouveau poste qu'il occupera dès la rentrée scolaire d'août.
Je ne suis pas certain de comprendre. Ce prof gay, aime-t-il simplement l'enseignement, ou spécifiquement donner des cours d'éducation sexuelle à des enfants ?
Les journalistes ne l'indiquent pas. Quel manque de profesionnalisme !