Scandale international pour avoir soulagé sa vessie dans une piaule étudiante en Afrique du Sud
Une affaire d’importance mondiale
Des nouvelles d’Afrique du Sud, le modèle de société que la gauche adule.
Une grande université sud-africaine a annoncé jeudi, l’expulsion d’un étudiant blanc qui avait été filmé il y a deux mois en train d’uriner sur les livres et l’ordinateur portable d’un étudiant noir, suscitant l’indignation en Afrique du Sud.
Uriner sur les affaires d’un Blanc ne suscitera l’indignation de personne, surtout pas des médias. En revanche, ce qui génère du ressentiment en Afrique du Sud, c’est la manifestation de l’inégalité raciale entre la réussite globale des blancs et la loose globale des noirs.
Il n’y a aucune haine dans cette affirmation, c’est un simple constat. Toute la litanie marxiste accusant le racisme d’État et l’oppression systémique ne peut rien contre la réalité biologique.
La prestigieuse université de Stellenbosch, dans la région du Cap, a indiqué dans un communiqué que la procédure disciplinaire avait conclu «qu’il n’y a pas d’autre alternative» que d’«expulser» l’étudiant de premier cycle, Theuns du Toit.
«L’université a une tolérance zéro vis-à-vis du racisme, de la discrimination, des préjugés et des comportements qui portent atteinte à la dignité d’une autre personne», a déclaré le vice-chancelier adjoint, Deresh Ramjugernath, dans le communiqué.
L’humiliation de l’étudiant noir en mai a suscité l’indignation dans un pays toujours aux prises avec de profondes divisions, 28 ans après la fin du règne de la minorité blanche. Le président Cyril Ramaphosa a déclaré que cette affaire montrait que le racisme gâchait toujours «la vie quotidienne en Afrique du Sud». La brève vidéo devenue virale montre un étudiant blanc de première année, en train d’uriner sur les livres et l’ordinateur portable d’un collègue noir tout en s’exprimant dans un anglais teinté de fort accent afrikaans.
Les massacres de fermiers perpétrés par des noirs gâchent la vie des Blancs. Mais ce n’est pas du racisme, c’est de la banale criminalité, chose normale dans une société multiraciale. Car on le sait, le racisme antiblanc n’existe pas.
Dans cette brève vidéo tournée avec un téléphone mobile, on voit l’étudiant blanc de dos trois-quarts. Un étudiant hors-champ lui demande «pourquoi tu pisses dans ma chambre?». Le jeune homme aux cheveux bruns ras, blouson à capuche beige, répond laconiquement «j’attends quelqu’un», sans interrompre ce qu’il fait.
Selon un syndicat étudiant, la victime dormait «quand il a entendu du bruit dans sa chambre»: «Quand il s’est réveillé, le garçon blanc raciste était en train d’uriner sur son bureau, ses livres et son ordinateur portable» et lorsqu’il l’a interrogé, «la réponse raciste a été que c’est ce qu’on fait aux garçons noirs», a déclaré le Congrès des étudiants sud-africains, dans un communiqué.
C’est vraiment dommage, la vidéo n’a pas enregistré le seul passage qui ferait de ce fait divers un acte effectivement haineux. Qu’importe, qui serions-nous pour remettre en question la divine parole d’un noir, qui plus est lorsqu’il s’agit de plusieurs noirs organisés en Congrès étudiants?
Le ministre de la Justice, Ronald Lamola, a estimé que cet incident équivalait «à uriner sur la Constitution elle-même». Cette Constitution a cimenté la transition, loin du régime de la suprématie blanche, et est souvent présentée comme un modèle de valeurs démocratiques – même si la mise en œuvre de ces valeurs reste un travail toujours en cours.
La mise en œuvre des valeurs démocratiques patauge un peu dans la semoule, c’est le moins que l’on puisse dire. Ce doit être à cause du racisme systémique. Après la libération du joug des suprémacistes blancs il y a de cela plus de 25 ans, l’ANC n’a pas été foutue de faire évoluer la situation des noirs.
L’inégalité raciale est visible d’autant plus dans les élites dirigeantes d’un pays. Marx et Mandela doivent s’en retourner dans leur tombe.