Scoop: le covid long est insignifiant si l’on est jeune et en bonne santé
L’Université de Zurich joue le jeu des antivax
Le seul argument des vaccinolâtres endurcis en faveur de la vaccination des jeunes était celui de voir sa vie gâchée par la probabilité de faire un covid long. La propagande allait même jusqu’à terroriser les parents pour les pousser à vacciner leurs enfants.
Qu’ils se rassurent, ce n’est le cas que des obèses.
Près de 500 recrues de l’armée suisse, dont une trentaine de femmes, ont participé à une étude de l’Université de Zurich, qui cherchait à estimer l’ampleur des séquelles du Covid à moyen et long termes sur la jeunesse. Les auteurs ont choisi de se focaliser sur les personnes qui n’étaient pas vaccinées. Leur constat est dans l’ensemble réjouissant: «Les jeunes en bonne santé se remettent largement d’une infection légère, le Covid ayant eu moins d’effet sur plusieurs organes chez eux que chez des patients plus âgés ou ayant d’autres maladies», dit l’Uni dans son communiqué lundi.
Croire une telle affirmation sans l’approbation du sceau de la science vous plaçait de fait dans la catégorie des malades mentaux. Quel soulagement d’être validé par des gens intelligents ornés d’un doctorat.
Tout a été passé sous revue. Les effets du Covid sur le système cardiovasculaire, mais aussi sur les fonctions pulmonaires, neurologiques, ophtalmiques et psychologiques. «L’étude montre toutefois que des infections récentes, même légères, peuvent entraîner de longues périodes de fatigue, une diminution de l’odorat, une détresse psychologique ainsi qu’une altération négative et à court terme de la fertilité masculine», ajoute l’Uni.
Il serait intéressant de mesurer la part qu’ont eu les restrictions, les informations anxiogènes et les perspectives d’avenir très incertaines dans la détresse psychologique des jeunes.
Mais, là encore, une bonne nouvelle. L’étude, qui comparait des recrues infectées plus de six mois avant les tests avec des recrues infectées plus récemment a montré qu’après six mois, «ces séquelles n’étaient plus significatives». Attention toutefois, il a été constaté, sans vraie surprise, que les personnes avec un indice de masse corporel plus élevé ou présentant un taux de cholestérol plus haut pouvaient présenter plus de risques de séquelles à moyen ou long terme que les autres du point de vue cardiovasculaire.
Non vacciné, le covid entraînerait des problèmes de fertilité qui se résorbent dans les six mois. Cependant, les naissances ont drastiquement chuté au premier semestre 2022. De là à dire que ce sont les vaccins qui en seraient la cause, il n’y a qu’un pas que nous ne franchirons pas.
Soyons patients, l’Université antivax de Zurich publiera probablement une étude démontrant que cette supposition aussi était faite de bon sens.