Sentant le vent tourner, Zuckerberg tente de faire Téchouva
Ce n'est pas du tout calculé
Mark Zuckerberg, le lézard judaïque propriétaire de Meta (Facebook, Instagram, WhatsApp), est connu pour revendre les données personnelles de ses utilisateurs à des entreprises en échange d'immenses piles de liasses de billets. Il a d'ailleurs reçu la plus lourde amende jamais infligée dans une affaire du genre, d'un montant de 5 milliards de dollars.
Mark est un reptile colérique, et ne supporte pas qu'on lui mette des bâtons dans ses pattes gluantes lorsqu'il envisage d'aspirer les données de ses victimes.
Zuckerberg est également un des principaux ennemis de la liberté d'expression. En effet, nombreuses sont les fois où ce Juif censure délibérément les discours qui sortent de la pensée unique pour laquelle il milite avec acharnement. Il a d'ailleurs récemment supprimé plusieurs comptes de personnalités de droite en France.
Même s'il s'est récemment illustré en bannissant de ses plateformes les messages hostiles aux agissements d'Israël, c'est durant la période du Rhume-19 qu'il s'est montré le plus vicieux.
N'importe quel discours remettant un tant soit peu en cause la politique sanitaire désastreuse mise en place par les gouvernements se voyait aspiré dans les profondeurs lugubres de la machine à censure de ce milliardaire aigris.
Lundi, il a confié à travers une lettre adressée à la commission judiciaire de la Chambre des représentants que le gouvernement avait fait pression sur lui pour qu'il retire des contenus liés au Covid-19 de ses plateformes durant la pandémie.
En ce qui concerne la pandémie, le fondateur de Facebook a déclaré qu’en 2021, l’administration Biden a «exercé des pressions répétées sur nos équipes pendant des mois pour qu’elles censurent certains contenus Covid-19, y compris l’humour et la satire». «Je crois que la pression du gouvernement était une erreur, et je regrette que nous n’ayons pas été plus francs à ce sujet», a écrit M. Zuckerberg.
On se demande bien d'où lui vient cette soudaine envie de faire Téchouva, trois ans après les faits.
Vous vous doutez bien que ses déclarations ne découlent pas d'une prise de conscience empathique envers les goys qu'il a ouvertement manipulé durant le théâtre du Refroidissement-19.
En survenant en pleine campagne présidentielle, cette lettre vient ajouter un poids supplémentaire sur la balance qui penche nettement en faveur du camp républicain, malgré le travail quotidien des merdias pour nous faire gober le contraire.
Reste à savoir si cet honnête homme a agi par peur de l'échec du camp démocrate auquel il se soumettait allègrement, ou par intérêt personnel face à la politique communiste désastreuse que compte mettre en place la mythomane compulsive Kamala Harris.