Six requérants afghans accusent des agents de sécurité de maltraitance
Même si c'était vrai, ce serait mérité
On entend malheureusement beaucoup trop parler d'Afghans ces derniers temps.
Ils les accusent d'abus d'autorité, séquestration, contrainte ou encore lésions corporelles. Six requérants d'asile mineurs non accompagnés (MNA), d'origine afghane, ont porté plainte contre des agents de sécurité du centre d'accueil aménagé dans la caserne des Rochat, dans le Nord vaudois. Selon la RTS, ils auraient subi clé de bras, plaquage ventral, jets de spray au poivre et détention arbitraire, pour rien ou presque. On leur aurait par exemple reproché d'écouter de la musique trop forte, d'avoir demandé une ration de nourriture supplémentaire ou encore de ne pas s'être pliés à une demande.
Ces mineurs non accompagnés ne sont pas très créatifs. Cette liste de mensonges est représentative du QI moyen de ces Afghans.
Auditionnés par les autorités, les employés de Protectas ont nié avoir violé les règlements internes. Ils auraient en fait utilisé de moyens proportionnés face à des jeunes très agressifs. D'ailleurs, des plaintes pour injures et menaces ont aussi été déposées contre l'un des requérants. Et, pour l'heure, les sécus demeurent présumés innocents. Toutefois, l'enquête de la RTS révèle qu'aucun d'entre eux n'aurait suivi de formation spécifique pour l'encadrement des mineurs. Au mieux, ils ont lu un document sur l'exploitation des centres fédéraux d'asile et l'un d'eux aurait simplement été formé sur le tas. Cette affaire n'est pas sans rappeler les cas d'abus dénoncés par le passé. Et l'avocate Milena Peeva de déclarer, dans le 19h30: «Il y a un problème structurel, et malgré les promesses de changement et les garanties sur la formation et le recrutement [des agents], rien n'a changé.»
Évidemment que ces sous-hommes sont agressifs, il n'y a pour le prouver qu'à se tourner (encore) vers la France.
Selon la RTS, la parole de ces agents de sécurité peut être remise en doute, puisqu'ils n'ont apparemment jamais suivi de formation leur donnant un papier qui atteste avoir suivi une formation...
Pour finir, l'avocate bulgare, bien que très mignonne, est une gauchiste hors catégorie. Son CV dégueule de progressisme. Quel dommage, elle aurait pu faire une brillante carrière très avant-gardiste dans la défense des droits des fascistes.