Turquie: Erdogan rappelle à juste titre que l'Eurovision est un concours de dégénérés

La sagesse Ottomane dans toute sa splendeur

Turquie: Erdogan rappelle à juste titre que l'Eurovision est un concours de dégénérés

Le sultan a su mettre des mots sur nos maux.

Blick.ch

Son pays n'y participe pas, mais il a son mot à dire sur la question. Lundi, le président turc Recep Tayyip Erdogan s'est insurgé contre le concours Eurovision de la chanson lors d'un discours. Selon lui, le concours est une manifestation qui neutralise les genres. «L'Eurovision est une menace pour la famille traditionnelle», selon le chef d'Etat.

L'Eurovision est une citadelle du lobby LGBT. C'est totalement revendiqué depuis des années.

La première trans qui gagna le concours fut la candidate israélienne Diva International, en 1998.

Cérémonie satanique

Il fallu attendre 2007 pour que gagna une autre membre de la communauté, la lesbienne serbe Marija Šerifović.

Cette image ne laisse pas place au doute

Depuis, tout s'accéléra et les premières places toujours plus souvent attribuées à tout sauf des hétérosexuels.

Le président turc a qualifié les participants au concours de «chevaux de Troie de la corruption sociale» et a déclaré que la décision de son gouvernement de retirer la Turquie de l'Eurovision en 2012 était un bon choix pour ces raisons précises. «Nous comprenons mieux maintenant que nous avons pris la bonne décision de retirer la Turquie de cette compétition honteuse au cours des 12 dernières années», a-t-il déclaré.

Plus que les chevaux de Troie, ces compétiteurs honteux sont les cavaliers de l'Apocalypse de la corruption sociale.

La Turquie a échappé à la vision infernale de la victoire de Conchita Wurst à l'Eurovision 2014
En plus de démonter le concours et ses valeurs, le président turc a émis des déclarations qui visaient manifestement la personne de Nemo, la star suisse de l'édition 2024. «Lors de tels événements, il est devenu impossible de rencontrer une personne normale», a ajouté Recep Tayyip Erdogan qui, avec cette déclaration, s'en prend à l'ensemble de la communauté LGBTQ+.

La Turquie n'étant pas une province de l'empire anal, sa déclaration frappée du bon sens ne lui vaudra aucune condamnation de magistrats sodomites.

Les propos du président conservateur sont choquants, mais pas surprenants. Son parti de la justice et du développement (AKP), est devenu de moins en moins tolérant envers les droits des personnes LGBTQ+ au cours des dernières années.

Les homosexuels efféminés du Blick sont choqués. Pas nous.

Dans ce même discours, le chef de la Turquie a qualifié la baisse de la natalité dans son pays de «menace existentielle» et de «catastrophe» nationale. La semaine dernière, l'office des statistiques de Turquie a annoncé que le taux de natalité du pays était tombé à 1,51 enfant par femme en 2023.

À l'instar des pays civilisés, le taux de fécondité des Turcs est sous le seuil de renouvellement des générations.

La négrification, voire même l'Afghanisation de son pays, sont les menaces existentielles qu'Erdogan a correctement identifiées. Reste à savoir s'il va les laisser poursuivre leur route chez nous ou les utiliser comme esclaves.

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