Un bogmoule pris en flagrant délit de bogmoulerie pour obtenir son permis C

La bogmoulerie n'est jamais finie

Un bogmoule pris en flagrant délit de bogmoulerie pour obtenir son permis C

Nouvelle affaire de bogmoulerie dans la commune maghrébine de Fribourg.

Pour obtenir le permis C, il a obligé son ex à mentir au SPoMi
Le Ministère public vient de condamner un Tunisien qui avait contraint son épouse à cacher leur séparation aux autorités, pour obtenir le permis C.
Le Service de la population et des migrants (SPoMi) de Fribourg a accordé le permis C, en août 2021, à un trentenaire tunisien. Pour obtenir le sésame, l'homme avait signé, conjointement avec son épouse de nationalité suisse, une déclaration officielle stipulant qu'ils faisaient ménage commun et qu'aucune séparation n'était envisagée.

Un bogmoule tunisien avait donc épousé une Suissesse égarée dans le but d'obtenir le précieux sésame à croix blanche.

Pour rappel, le permis C permet de séjourner en Suisse pour une durée indéterminée, et sans restriction.

Ainsi, pour convertir son autorisation de séjour (permis B) en autorisation d'établissement (permis C), il lui suffisait de se trouver une partenaire naïve de nationalité suisse.

Par la suite, il est toutefois apparu que l'information était totalement fausse. En réalité, le couple était séparé depuis un mois, et le Tunisien était déjà à la recherche d'un nouveau logement, au moment de la signature des papiers. Or, la Suissesse n'avait pas menti de gaieté de cœur. Son ex «l'a menacée de représailles si elle ne le faisait pas, car il avait un intérêt à obtenir le permis C. La femme a donc agi par crainte de son mari. A l'époque, elle faisait l'objet de pressions psychologiques», décrit le Ministère public.

Certainement lassée de devoir partager son amant avec les chèvres du voisin, la Suissesse avait en réalité fui un mois avant la demande de permis, rendant celle-ci caduque.

Elle a par la suite affirmé être toujours en couple avec l'escroc maghrébin (pléonasme) pour qu'il puisse obtenir son permis, de peur qu'il ne lui latte la tronche à coups de babouche.

Les arguments d'un bogmoule peuvent s'avérer parfois très convaincants
Si la femme a renoncé à porter plainte, l'infraction de contrainte se poursuit d'office et le Ministère public vient de condamner le Tunisien à 20 jours de prison ferme, ainsi que 400 francs d'amende. Cette peine, relativement clémente, s'explique car elle est complémentaire à deux autres condamnations prononcées en mars et en juin 2022. À ces occasions, il avait déjà écopé de 20 et 30 jours de prison.

Bienvenue en Suisse, le seul pays au monde où une récidive peut vous conduire à un allègement de peine.

De plus, le Tunisien s'est encore fait pincer à plusieurs reprises en 2023 et 2024, alors qu'il diffusait de la musique à haut volume dans son appartement, au beau milieu de la nuit. Au grand dam de ses voisins. Mais, auditionné en juin dernier par le Ministère public, cet homme sans travail et vivant de l'aide sociale a promis qu'on ne l'y reprendrait plus. Tous ses problèmes de voisinage seraient dus à sa consommation excessive d'alcool et il aurait désormais arrêté de boire.

Vos impôts servent donc à financer la consommation de vodka Gorbatschow à des bogmoules alcooliques au chômage qui empêchent les travailleurs de dormir.

Vraiment, quel bonheur de savoir que mon fric sert à accueillir ce genre de chance pour la Suisse.

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