Un joueur de l'AS Monaco refuse de se prosterner devant le lobby des fesses
Sur le Coran, j'suis pas homophobe Wallah
Dimanche dernier, lors de la dernière journée du Championnat de France, les joueurs ont dû (encore) se plier aux exigences du lobby de la névrose et de la dépression.
En effet, dans le cadre d'une campagne de lutte contre les discriminations pilotée par la Ligue de football professionnel (LFP), les maillots des joueurs, entraîneurs et arbitres ont été floqués d'un logo contre l'homophobie.
Refusant de se soumettre aux injonctions du camp du bien, le joueur malien de l'AS Monaco Mohamed Camara a collé des straps sur le logo en question.
Bien évidemment, les réactions des hystériques hurlant à l'homophobie ne se sont pas faites attendre. De peur que Momo ne se rende à la sortie du backroom le plus proche afin de casser du pédé, la ministre française des sports a demandé que les sanctions les plus fermes soient prises à son encontre.
À contrario, Momo l'homophobe a reçu bon nombre de soutiens de la part de politiciens maliens. Rien de surprenant quand on sait la sympathie que portent les habitants de ce pays envers les homosexuels.
De même qu'il était absolument aberrant qu'un joueur soit traité de raciste lorsqu'il refusait de s'agenouiller durant le cirque de Black Lives Matter, traiter un joueur d'homophobe parce qu'il refuse d'arborer le logo d'un lobby sexuel est totalement ridicule. La politique devrait de toute manière ne pas être associée au sport.
Il faut bien l'admettre, les quelques joueurs qui ont refusé de se plier à ces caprices sont tous des Africains musulmans.
Nous ne pouvons que nous délecter de ce genre de situation. Alors que les militants LGBT œuvrent activement pour le remplacement des Européens par des serviteurs d'Allah, ces mêmes gauchistes passent leur temps à s'offusquer lorsque leurs mœurs anales viennent se heurter aux préceptes Coraniques.
Mais bien évidemment, l'homophobie c'est la faute de l'extrême droite.