Un militant antifasciste genevois accusé de pédopornographie
Genève antifa = Genève pédophile
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En ce lundi 17 février 2025, la Tribune de Genève publie un article avec un titre peu accrocheur « Un jeune manifestant poursuivi en justice pour avoir blessé un policier ». Ceci est un article payant donc autant vous dire que 90% des gens ne le liront pas. La Hallebarde étant dans tous les stratagèmes (eh oui !), nous avons réussi à nous procurer l’article en entier, sans soutenir le travail de ce torchon, bien évidemment.
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Nous apprenons dans cet article que le ministère public genevois a terminé son enquête concernant l’agression d’un policier lors d’une manifestation organisée par l’extrême gauche pendant la période du COVID. Le rassemblement avait été initialement organisé le 19 décembre 2020 par la « Communauté genevoise d’action syndicale (CGAS) », qui est également à l’origine de la manifestation du 9 novembre (voir notre article sur la fusillade du 9 novembre 1932), intitulée « Pour une sortie de crise solidaire ». Plusieurs groupuscules d’extrême gauche ont participé à l’appel à un cortège se déroulant à la suite du rassemblement. Cet appel, diffusé sur le site antifasciste « renverse.co », incluait notamment des groupuscules plus radicaux comme « Action Antifasciste Genève » et la « Jeunesse socialiste genevoise (JSG) ».
C’est à la suite de ce défilé non autorisé qu’a eu lieu l’affrontement menant à l’arrestation du « jeune manifestant ». Le « jeune manifestant » (comprendre un antifa), prévenu de tentative de lésions corporelles graves, est accusé d’avoir blessé un policier au niveau des cervicales avec un mât de drapeau, entraînant un arrêt de travail de 90 jours.
L’affrontement entre policiers et gauchistes s’est déroulé lors du marché aux puces sur la plaine de Plainpalais. Dans un grand élan de protection du prolétariat, les antifas ont détruit le stand d’un pucier pour utiliser son matériel comme projectile. Quelques instants plus tôt, ces énergumènes manifestaient en faveur des « travailleurs touchés par la pandémie ». La logique antifasciste.
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Cette affaire peut sembler anecdotique et sans intérêt mais dans la partie payante, le journaliste balance une information qui aurait pu facilement faire le buzz dans toute la presse romande, accrochez-vous bien à votre chaise ! Le journaliste pond un paragraphe se nommant : « Accusé de pédopornographie ». Rien que ça ! Dans ces deux petits paragraphes, nous apprenons que l’antifa a distribué et mis à disposition à d’autres personnes sur Snapchat des images au contenu pédopornographique de jeunes gamines entre 8 et 12 ans avec les jambes écartées. À gerber.
L'extrait en question :
Défendu par Me Yama Sangin, le manifestant se voit également reprocher des faits de pornographie. Selon l’acte d’accusation, il aurait «distribué et mis à disposition d’autres personnes sur internet, via Snapchat, […] quatre images au contenu pédopornographique, représentant des jeunes filles nues, âgées entre 8 et 12 ans, allongées sur le sol, les jambes écartées, de manière à laisser voir leurs parties intimes».
La police est-elle tombée, par hasard, sur ces images, lors d’une perquisition, en enquêtant sur la manifestation qui a dégénéré? Nous avons posé la question à son avocat qui n’a pas souhaité faire de commentaires. »
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Un jeune militant antifasciste genevois se fait perquisitionner son téléphone avec du contenu pédopornographique envoyé à d’autres personnes sur internet, l’arbre qui cache la forêt ? Est-ce le seul cas de pédophilie au sein de la mouvance antifasciste genevoise ? Le journal « 20 minutes » a repris l’information de l’article de la « Tribune de Genève » en faisant l’impasse sur le contenu pédophile retrouvé sur le téléphone de l’antifa. Oui vous ne rêvez pas, la presse mainstream protège les antifas pédophiles.
Tout comme le pucier dont le stand a été détruit par les antifas, voici encore une histoire où vous n’entendrez pas les communiqués des groupuscules antifascistes et d’extrême gauche.
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Une vidéo du défilé et une partie de l’affrontement est disponible sur l’article du 20 minutes :
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