Un mot sur la querelle nationaliste Ukraine-Russie

Il fallait bien que nous y revenions

Un mot sur la querelle nationaliste Ukraine-Russie

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La réalité démographique comme base de réflexion

Ceux qui me lisent savent que je ne porte pas le régime de Kiev dans mon cœur et la raison en est très simple. Une victoire de l’OTAN ukrainienne légitimerait le système antiblanc porté actuellement par l’Occident, celui-là même qui ne fait rien pour endiguer ni son invasion par le tiers-monde, ni les causes de la dénatalité qui touchent autant l’Europe que la Russie. Car oui, ce dernier pays, bien qu’il s’oppose avec force au lobby qui n’existe pas ainsi qu’à la prédation de la finance internationale, est en proie aux mêmes problèmes que le reste de l’Occident: une dénatalité effroyable liée à l’avortement, à l’immigration en provenance d’anciens satellites de l’URSS, à la situation économique délétère générée par les sanctions occidentales, etc.

Au contraire, le système en Occident s’emploie activement à exacerber tout ce qui peut mettre fin à la vie des Blancs et, bien que je les apprécie beaucoup, les gens qui m’insupportent presque autant que les activistes homo-réchauffistes ces derniers temps sont les droitards influents qui se bornent à expliquer que tout ceci n’est que le fruit du gauchisme, que toute autre forme d’explication, même un tant soit peu orientée sur un axe géopolitique, s’apparente à du complotisme façon gogol 88. Je ne vois pas la différence entre un droitard qui ne voit l’origine de notre dégénérescence que par le prisme du gauchisme et une gauchiasse qui chiale en disant que «c’est la faute à la société».

Dans le pire des cas, ils considèrent comme tiers-mondistes ceux qui préféreraient une victoire des «ennemis de l’Occident» plutôt qu’une soumission totale aux globalistes de Wall-street. Or, autant je ne cèderai jamais le moindre lopin de terre à n’importe quel afro-mahométan qui débarquerait sur nos côtes, autant je ne peux considérer que le monde russe est extérieur à l’Occident. La Russie est peuplée à 80% de Blancs, c’est un fait, et au vu de nos démographies respectives, le pragmatisme et la réalité biologique nous obligent à les associer à notre race, puisqu’en tant que slaves, ils sont tout autant d’ascendance indo-européenne que nous, germains, celtes et latins.

Fédération de Russie: L’empire multiethnique ennemi
États-Unis d’Amérique: L’empire multiethnique allié

Le monde Blanc s’étend donc de l’Amérique à la Russie, avec comme matrice initiale l’Europe. Cependant, à l’heure actuelle, le terme «Occident» est une notion américano-centrée. Pour les populations vivant sur le territoire de l’Europe, leur intérêt stratégique premier de par sa simplicité géographique n’est pas de s’allier avec les Américains, mais avec les Russes et leurs ressources intarissables. Bien qu’ils soient également de souche européenne, c’est notamment à cause de leur géographie que les Américains ont des intérêts divergents à ceux des Européens et leurs objectifs géopolitiques nous placent de fait dans une posture de dominé que nous ne pouvons tolérer.

La volonté de domination sans partage des premiers ne laissera jamais place à une indépendance des seconds. Ce n’est pas pour autant que nous devons leur vouer une haine, ni souhaiter la destruction de leur nation. Ils doivent trouver eux-mêmes le chemin de leur révolution.

La propagande éclatée des dirigeants russes

Sans dénier aux ukrainiens leurs sentiments nationalistes, il faut savoir faire la part des choses et établir une critique objective envers un pays blanc lorsque celui-ci est mis à la disposition des globalistes par un président humoriste «démocratiquement élu» pour parvenir aux buts machiavéliques de la finance internationale.

Cependant, lorsque le chef de la diplomatie russe tente une comparaison entre l’OTAN et l’Allemagne nazie ainsi qu’entre la solution finale d’Adolf Hitler et le projet de conquête de la Russie et de ses abondantes ressources naturelles, je me dis qu’il serait temps pour ce bon vieux Sergueï de prendre sa retraite, au même titre que tous ces vieux apparatchiks au pouvoir depuis bien trop longtemps, bien que je ne crois pas un seul instant à la thèse de Poutine le demi-mongole nostalgique souhaitant réhabiliter une URSS fantasmée pour expliquer sa décision d’envahir l’Ukraine.

Lematin.ch

Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a comparé, mercredi, les actions des pays occidentaux contre son pays à la «solution finale» du régime nazi pour exterminer les Juifs, des propos reflétant des thèses aujourd’hui couramment évoquées à Moscou. «Tout comme Napoléon a mobilisé presque toute l’Europe contre l’Empire russe, comme Hitler a mobilisé et conquis la plupart des pays européens, pour les lancer contre l’Union soviétique, les États-Unis ont monté aujourd’hui une coalition contre Moscou.»

Leur tâche est «la même: la «solution finale» à la question russe. Tout comme Hitler voulait résoudre la question juive, désormais, les dirigeants occidentaux disent sans ambiguïté que la Russie doit subir une défaite stratégique», a-t-il ajouté. Si Moscou accuse régulièrement les pays occidentaux de vouloir «détruire» la Russie en armant l’Ukraine, les nouvelles déclarations de Sergueï Lavrov risquent de susciter de vives réactions.

C’était sans doute la rhétorique la plus stupide qu’il ait fallu choisir de propager et c’est bien la preuve qu’il est impératif que les dirigeants russes soient grand-remplacés par du sang neuf.

Hitler était d’abord et avant tout anticommuniste, comme toute personne éprise de bon sens. L’antinazisme est la forme primitive de l’antiracisme qui n’est que le paravent du racisme antiblanc. C’est tel quel qu’il est compris dans l’imaginaire collectif des masses occidentales.

D’autres moyens que la loi m’empêche de mentionner seraient largement plus efficaces pour faire évoluer l’Europe dans un sens favorable aux intérêts des Russes que ne l’est cette litanie pour boomer antifa.

Tant de morts se retournent dans leur tombe

Plaidoyer pour une Europe politique

La croyance en la volonté néo-impériale du Kremlin de reconstituer l’URSS découle d’une conception du monde néo-conservatrice occidentaliste restée bloquée au temps de la Guerre froide. À l’inverse, les États-nations chers aux souverainistes permettent à nos adversaires d’instrumentaliser le chauvinisme des différents pays européens pour les diviser entre eux et ainsi empêcher leur unification, prélude à la chute de l’hégémonie américaine sur le monde occidental.

La Russie est coincée entre la Chine en passe de devenir la première puissance commerciale du monde et l’Europe ethnomasochiste instrumentalisée par les globalistes pour devenir le terrain de la troisième guerre mondiale. Ces derniers iront jusqu’au bout pour maintenir l’empire qu’ils ont mis si longtemps à conquérir et qu’ils entendent bien étendre à l’ensemble de la planète.

Qui d’assez naïf peut croire que les Chinois ne sont pas conscients de cet objectif et qu’ils ne seront pas les prochains sur la liste dès l’instant où la Russie sera tombée, à supposer que ce soit le cas sans dommages collatéraux extrêmement dommageables pour le patrimoine de notre continent et le peuple européen au sens large?

En tant qu’Européen, choisir le camp occidentaliste d’un point de vue géostratégique, c’est possiblement condamner l’Europe à revivre un conflit qui lui ôtera à jamais la capacité à s’autodéterminer. Nous avons bien trop à perdre dans le déclenchement d’une troisième guerre mondiale sur notre territoire, et cela même si l’Occident en ressortait victorieux.

Je suis un fervent défenseur de la troisième voie, celle du camp européaniste qui lutte pour que l’Europe redevienne maîtresse de sa destinée et soit préservée du sombre sort que lui réserve l’Occident globaliste. C’est aussi ce chemin qui poussera le peuple russe à opérer sa révolution, condition nécessaire à l’avènement de la future première puissance mondiale, l’Euro-Russie.

À titre personnel, et en tant que Suisse, je ne crois aucunement à un dénouement réformiste pacifique et démocratique. La solution n’est ni une victoire russe dans un bain de sang nucléaire, encore moins ukrainienne qui légitimerait le système antiblanc qui a court en Occident. Non, la seule possibilité qu’ont les Européens pour redevenir maîtres de leur destinée ne peut que provenir d’une révolution, par définition radicale, de destitution des élites en place et de refondation des institutions européennes.

La situation est critique et les nationalistes n’ont jamais été aussi divisés que sur cette question, ce qui fait hurler de rire les partisans de notre destruction. Peut-être est-ce cet ultime malheur qui sera l’élément déclencheur de cette révolution européenne et qui obligera les Blancs à se solidariser entre eux, de l’Islande à la Russie, seule perspective de salut pour notre peuple en voie d’extinction.

Maîtres d’un territoire de l’Atlantique au Pacifique, empli de génies et de ressources naturelles en abondance, cette perspective est la seule qui puisse assurer, sur le long terme, la survie et la totale liberté des Européens.

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