Un terroriste éclopé tremble à l'idée de se faire expulser
Tout ne roule pas comme il voudrait
Un terroriste irakien de l'EI en fauteuil roulant qui échappe depuis bien trop longtemps à son châtiment devrait enfin être expulsé de Suisse.
Il y a quelques semaines, l'Office fédéral de la police (Fedpol) a décidé qu'Osamah M.* devait être expulsé. Après avoir semé la frayeur en Suisse, ce partisan de l'État islamique (EI) condamné se retrouve lui-même dans une peur bleue: il tremble à l'idée de retourner dans son pays d'origine, l'Irak.
En réalité, cette vermine à chaise roulante a été condamnée pour la première fois en 2017 pour implication dans l'organisation terroriste EI et aurait dû être expulsée de Suisse. Mais c'était sans compter la faiblesse de nos institutions juridiques.
En effet, les fiottes empathiques qui nous servent de juges ont estimé que le terroriste risquait de subir des traitements inhumains en Irak, raison pour laquelle son expulsion n'a jamais eu lieu. Il a évidemment passé ces dernières années à bénéficier de l'assistance sociale.
Depuis la nouvelle annonce de son expulsion il y a quelques semaines, le terroriste chie mou et s'est mis à chialer dans les colonnes des invertis du Blick.
Il y a d'abord la police fédérale et la justice. «En Irak, des membres de l'EI sont tués. En Suisse, j'ai été condamné définitivement comme membre de l'EI. Et ils disent que je ne suis pas en danger?!», se plaint Osamah M.
Ce musulmite éstropié semble réticent à l'idée de se faire lapider sur la place publique. Étonnant pour un type qui affirmait que les Suisses n'étaient bons qu'à être décapités.
Ce dernier affirme qu'il préférerait passer des années dans les prisons suisses plutôt que de retourner en Irak. «S'il vous plaît, transmettez un message aux personnes qui décideront de mon expulsion: je ne veux pas perdre la vie!», supplie-t-il.
Préférer les miteuses prisons suisses à un pays si paisible comme l'Irak, c'est tout de même étrange, non ?
Puis Osamah M. s'en prend aux médias. «Les médias sont des terroristes. Ils ont détruit ma vie», se plaint-il. Ce n'est pas une surprise. La couverture médiatique et ses conséquences constituent le point central de l'argumentation dans sa lutte contre l'expulsion.
Je comprends la détresse d'Osamah. S'il lisait La Hallebarde au lieu du 20 Minutes, il se sentirait beaucoup mieux.
Jusqu'au début de l'année 2024, Osamah M. a refusé d'être désigné comme terroriste de l'EI. Ce n'est que lorsqu'il est devenu clair qu'il était menacé d'expulsion qu'il a affirmé qu'un grand danger le guettait en Irak en tant que prétendu partisan de l'EI. Pour Fedpol, il est évident qu'Osamah M. a voulu tromper les autorités suisses.
La plaidoirie du Bédouin à fauteuil peut se résumer en trois étapes :
Étape 1 : « Wallah je suis pas un terroriste de l'EI »
Étape 2 : « Wallah c'est les journalistes les terroristes »
Étape 3 : « Wallah c'est vrai que je suis un terroriste mais si vous me renvoyez là-bas ils vont me tuer »
Jusqu'à ce que le sort d'Osamah M. soit définitivement clarifié par les tribunaux, une seule chose est sûre: les habitants de Schaffhouse peuvent respirer. Sa présence avait suscité l'inquiétude dans la région pendant des années.
Espérons que les tribunaux tiendront compte de son solide argumentaire. N'en déplaise aux racistes schaffousois !