Un vieux pédé de l'Oberland bernois pousse ses amants afghans dans le précipice
La chair n'était plus si fraîche
On comprend pourquoi les membres de la communauté LGBT sont également des sans-frontiéristes endurcis.
La Cour suprême bernoise a condamné vendredi en deuxième instance un sexagénaire accusé d’avoir volontairement poussé en 2019 deux de ses amants dans un ravin de l’Oberland bernois. L’homme écope de 17 ans et demi de prison.
La Cour suprême bernoise valide ainsi la peine prononcée en première instance par le tribunal régional de Thoune. Elle a confirmé le verdict de culpabilité pour homicide volontaire et tentative d’homicide volontaire.
Ces Afghans commençaient probablement à devenir réticents à toutes les abominables pratiques que ce vieux sexagénaire leur demandait de réaliser.
L’accusé conteste les faits. Il peut faire appel du jugement devant le Tribunal fédéral.
La justice accuse l’homme de 66 ans d’avoir poussé en novembre 2019 dans un ravin un jeune Afghan avec lequel il entretenait une relation sexuelle. La victime, qui a miraculeusement survécu à la chute, a pu alerter un automobiliste.
Le sexagénaire est également accusé d’homicide sur un jeune Afghan retrouvé mort dans un torrent de la même région en mai 2019.
Cette histoire est sordide. Il faut que nous partions sur des nouvelles un peu plus réjouissantes. Je dirais même plutôt festives. Parlons de chemsex.
Le principe de ces «plans chems»: des hommes se rencontrent, principalement en ligne, et se retrouvent pour des relations sexuelles à plusieurs à domicile, où tous types de substances psychoactives sont sniffées, ingérées, injectées, afin de démultiplier désir et sensations, plusieurs jours de suite.
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Selon des chiffres de l’association Aides, les pratiquants sont à 90% des hommes homosexuels et à 10% d’autres profils. Le chemsex est aussi documenté chez les échangistes hétérosexuels et les adeptes de «rave parties» («teuffeurs»).
J'en ai des frissons.
Malheureusement, la fête finit toujours par être gachée par toutes sortes de maladies homophobes en provenance d'Afrique.
Depuis septembre dernier, une nouvelle souche encore plus mortelle du Clade se répand en RDC, étant transmise également par contacts sexuels entre homosexuels, l’épidémie commençant chez les personnes travaillant dans la prostitution. Des tests ont révélé qu’il s’agissait d’un nouveau variant, résultat d’une mutation, du Clade I, appelé Clade Ib. «La nouvelle souche se transmet (...) jusqu’à présent exclusivement de personne à personne», a souligné Mme Lewis.
Notre excellent article humoristique sur la variole du singe avait été l'objet d'attaques de la part de particuliers et d'associations membres du lobby de la rondelle infectée.
Nous vous recommandons donc de le lire, le relire et le transmettre partout autour de vous.