Une conférence d'islamistes haineux se tiendra bientôt à Bienne
Habibi, welcome to Bienne
Fidèle à sa réputation de ville islamique, Bienne accueillera ce week-end un congrès de fanatiques qui rêvent d'imposer la charia sur le territoire hélvète.
Christine Talos
La ville de Bienne sera le 1er février prochain le lieu de convergence de nombreux musulmans de Suisse et d'ailleurs. En effet, à quelques jours du ramadan qui aura lieu du 28 février au 29 mars, elle accueille un grand congrès sur l'islam qui réunira plus de 1000 invités, dont certains prédicateurs controversés, relève le «SonntagsBlick».
Il est dans la coutume biennoise d'offrir une terre d'accueil chaleureuse aux serviteurs d'Allah qui prêchent le meurtre par décapitation de chrétiens blancs.
SWI swissinfo.ch
parVincent Donzé
Et pour les mauvaises langues qui imputeraient l'islamisation de cette ville à l'immigration, détrompez-vous ! Bienne peut également compter sur ses indigènes pour porter haut et fort la voix de la haine coranique, à l'image du président du Conseil central islamique suisse, le converti Nicolas Blancho. Ce traître a été condamné l'année passée pour avoir fait la promotion de vidéos de propagande du groupe terroriste Al-Qaïda.
L'influenceur islamiste Shoaib Hussain, connu sous le nom de «The Sunnah Guy» et qui compte deux millions d'abonnés sur Instagram, en sera la star principale. Mais il y aura aussi l'imam de Berlin, actif dans des mosquées et des institutions présumées liées aux Frères musulmans. Ou un aumônier allemand surveillé par le service de protection de la Constitution de Berlin en raison de ses liens avec les Frères musulmans également.
Alors que Fedpol avait honteusement interdit au militant nationaliste autrichien Martin Sellner d'entrer sur le territoire suisse pour, soit disant, protéger la sécurité du pays, aucune mesure n'a été prise pour interdire cette conférence, dont la moitié des intervenants ont des liens avec des organisations terroristes.
Helvète solide
La présence la plus explosive sera toutefois celle de Samir Raadouan Jelassi. Il s'agit de l'imam de Lugano, un Tunisien qui avait fait parler de lui il y a quelques années parce que la Suisse lui avait refusé sa naturalisation en raison de ses contacts avec des extrémistes. Le Service de renseignement de la Confédération avait alors averti qu'il représentait «un risque pour la sécurité intérieure et extérieure de la Suisse».
On lui refuse la nationalité mais on le garde au chaud sur le territoire alors que ce bogmoule représente un danger pour la sécurité du pays. Ce genre de demi-mesure m'agace au plus haut point.
Du côté de la ville de Bienne, la manifestation a été autorisée au nom de la liberté d'opinion et pour autant que l'ordre public ne soit pas menacé. Mais elle sera surveillée de près. En cas de propos racistes, antisémites ou homophobes, une plainte pénale sera déposée contre les organisateurs.
La liberté d'opinion, bien sûr. Dommage que les conférences nationalistes ne bénéficient pas des mêmes traitements.
Espérons que ces musulmites ne franchiront pas la ligne rouge en s'attaquant aux commuautés intouchables de l'étoile et de la rondelle.
