Une élue socialiste veut interdire la participation des écoliers aux Abbayes
Les fêtes de tir sont misogynes
Les traditions. Ces événements, ces valeurs, ces pensées que nous, amoureux de la patrie, tentons de défendre et faire perdurer face à des wokistes toujours plus déterminés à bousiller notre culture et notre identité nationale.
La dernière attaque, menée par la députée socialiste Oriane Sarrasin, vise les Abbayes, ces traditionnelles fêtes de tir vaudoises. Cette dernière s’est insurgée contre la participation des écoles à ces fêtes, les jugeant machistes.
«Ces fêtes couronnent comme rois les meilleurs tireurs, et des jeunes femmes, très souvent en robe de soirée, se tiennent à leur bras lors du cortège. Cette répartition des rôles met en avant les compétences des hommes et l’apparence physique des femmes, conférant à ces dernières uniquement un rôle que l’on peut qualifier de décoration», déplore-t-elle.
Comment peut-on avoir l’esprit assez tordu pour penser de la sorte? Cette vision fantasmée de sexisme illusoire est d’autant plus inquiétante que cette députée est enseignante à l’université de Lausanne. Chose qui ne surprend qu’à moitié quand on connaît l’idéologie dominante qui est promue dans la plupart de ces usines à cons. Le peu d’universitaires de droite savent de quoi je parle.
Bien décidée à aller jusqu’au bout de sa bêtise, la députée a déposé une interpellation au Grand Conseil vaudois pour demander à ce que «l’école obligatoire ne soit pas impliquée dans des événements sexistes».
Je tiens à rappeler que depuis les années 1990, les Abbayes sont ouvertes aux femmes. De plus, aucun enfant n’est forcé de défiler. Il me semble aussi qu’à cet âge, les gosses ne se posent pas le genre de questions délirantes qui semblent, au final, n’inquiéter que Madame Sarrasin elle-même.
La gauche, toujours à la pointe de l’innovation et de la conception de problèmes fictifs, continue à nous vendre du rêve.