Une étude de Migros démontre que la haine de l'UDC cristallise la haine des Blancs

Initiative constructive, même si ce n'était pas le but

Une étude de Migros démontre que la haine de l'UDC cristallise la haine des Blancs

L'observateur honnête de la vie politique occidentale est, à l'heure actuelle, obligé d'admettre que les changements démographiques inédits dans l'histoire de notre continent, qu'il s'agisse de la dénatalité blanche ou de l'immigration de masse extra-européenne, ont placé la question raciale au centre des préoccupations.

Migros, qui ne jure que par la diversité, a décidé de sonder l'opinion afin de rendre compte de cet état de fait.

20min.ch

On dit toujours que la gauche voudrait «accueillir tout le monde». Mais l'étude sur la diversité «Dissemblables ensemble?» réalisée par l'Institut Gottlieb Duttweiler sur mandat de la Migros, tend à dire l'inverse. L'étude a cherché à savoir quelle serait la réaction des Suisses en cas d'arrivée d'un nouveau voisin avec certaines caractéristiques. Accueillir tout le monde? D'accord, mais si c'est un électeur UDC, beaucoup font la moue, notamment à gauche.

Dans la Suisse de 2024 plus que jamais, quoi qu'on en pense aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur du parti, l'UDC est perçu comme le mouvement politique qui représente les intérêts des autochtones, des Blancs, toutes classes sociales confondues.

La défense des frontières, de la culture et des traditions est associée par les gauchistes, les médias et la finance internationale à la volonté de conserver une société « recroquevillée sur elle-même », ce qui mène, d'après eux, au racisme et à la haine. La coalition de ces forces unies contre les Blancs souhaitant rester homogènes entraîne naturellement la polarisation du monde occidental sur la question raciale.

On découvre dans les résultats publiés lundi qu'un plus grand nombre de Suisses (33,1%) auraient des sentiments négatifs en cas d'arrivée d'un voisin qui vote pour l'UDC plutôt qu'un voisin gay (10,5%), mais aussi handicapé (4,8%), juif (15,9%), végane (19,5%), musulman (28,8%)... ou socialiste ou vert (23,1%). Mais selon l'étude, ça ne veut pas dire que les électeurs UDC sont des monstres, mais plutôt que ceux qui prônent la tolérance ne la pratiquent pas toujours autant que ça.

Le péquin moyen un tant soit peu informé sur la psychologie du gauchiste a compris que la tolérance universelle qu'il prône n'est que la manifestation de sa profonde haine de soi et du groupe ethno-culturel auquel il appartient.

Malgré leur égarement, une part très significative de ces aliénés peuvent être ramenés dans le droit chemin de l'ethno-différentialisme intégral. Eux nous haïssent pour nos opinions, tandis que nous les aimons pour ce qu'ils sont, à savoir des Blancs.

À partir du moment où un gauchiste trouve le chemin de la rédemption en reconnaissant pleinement son appartenance raciale, il passe aussitôt du statut d'idiot utile des races concurrentes à celui d'ennemi. C'est pourquoi il doit pouvoir trouver parmi nous des hommes de qualité, capables de l'intégrer dans une communauté locale à laquelle qu'il sera pleinement invité à contribuer par ses talents.

Certes, l'Européen traître à sa race sera toujours l'ennemi principal pour les nationalistes, autrement plus dangereux qu'un Bogmoule à 75 de QI ou qu'un Juif à 135, tous deux ayant au moins pour motif de rouler pour leur propre équipe. Mais la masse énorme d’adhérents passifs qui suit la tendance politique du moment ne doit pas être assimilée à cette minorité d'irréductibles Blancs dégénérés.

Soit dit en passant, je préfère largement avoir pour voisin un handicapé plutôt qu'un Juif, un pédé ou un marxiste, même s'il devait s'entraîner tous les soirs dans son salon en vu des prochains paralympiques.

«Quelqu’un qui aurait des sympathies pour l’UDC et qui s’installerait dans un quartier proche du PS ou des Vert-es aurait un peu plus de chances d’être rejeté que des sympathisant-es des Vert-es qui s’installeraient dans un bastion de l’UDC. Comme une inversion de la culture d’accueil», taclent les auteurs de l'étude. Les résultats montrent que parmi ceux qui s'identifient proches du PS ou des Verts, seuls 29,2% admettent des sentiments positifs envers les électeurs UDC alors que ces derniers sont 46% à en éprouver pour leurs concitoyens de gauche.

À la lecture de ces résultats, la réaction typique de jeunes militants dynamiques de droite pourrait être de bêler à l'unisson « ce sont les gauchistes les vrais intolérants ! ». Cette dialectique de boomer me rappelle quelque chose, et elle ne mène nulle part.

Il faut définitivement arrêter de tourner autour du pot et assumer pleinement la réalité qui s'est imposée à nous. Il ne peut y avoir aucune tolérance pour la disparition des peuples européens qui vivent sur leurs terres depuis la nuit des temps. Plus le Grand remplacement s'aggravera, plus les déterminismes raciaux que nos ennemis essaient tant bien que mal de relativiser au travers de la « théorie critique de la race » seront visibles.

Ce n'est pas le moment de ralentir cette fuite en avant vers la vérité, même si ses conséquences seront d'abord terribles pour les Blancs. Au contraire, nous devons en profiter pour hâter la prise de conscience des nôtres pour faire face aux temps troublés qui arrivent inéluctablement. Il en va de leur survie.

Mais il faut noter que la majorité des participants au sondage n'ont que faire de savoir si leur nouveau voisin pratique telle ou telle religion ou mange ci mais pas ça, gagne trois fois le salaire médian ou non. Pour toutes les catégories, c'est «des sentiments ni positifs ni négatifs» qui est la réponse la plus courante, et de loin, «peut-être parce que les sondés estiment par principe que les gens ne peuvent pas être jugés sur la base de catégories aussi vagues; ou peut-être sont-ils simplement totalement indifférents à la caractéristique en question».

Bien qu'inconsciemment, les gens ont intégré que le seul critère de jugement qui soit suffisamment tangible est la race. La lutte des classes est une vieillerie à laquelle seuls les communistes continuent de vouer un culte sans égard au nouvel environnement de l'Europe du XXI siècle, le siècle de LA RACE.

L'article n'aurait pas pu se terminer sans un encadré pour tacler l'UDC, trahissant au passage l'allégeance politique du cartel médiatique des milliardaires zurichois.

L'étude apporte une nuance supplémentaire: si les électeurs de gauche ne sont pas très tolérants envers ceux de l'UDC, ces derniers ne sont pas pour autant pétris d'amour d'autrui. C'est parmi eux qu'il y a le plus grand nombre de gens avec des sentiments négatifs envers les musulmans, les demandeurs d'asile, les véganes, les trans, etc. «Ces sentiments négatifs mettent en perspective l’intolérance des sympathisants du PS et des Vert-es envers eux, précisément parce que les sympathisant-es des partis de gauche sont le groupe qui exprime le moins de sentiments négatifs envers nombre de ces autres groupes», note l'étude.

« Pas de tolérance pour les ennemis de la tolérance ». Inutile de préciser que la revendication avec fierté de notre « blanchité » fait de nous les plus grands ennemis de la tolérance.

Et bien soit. Vive la race blanche en Europe, la seule qui y soit légitime et ce jusqu'à jamais !

Soutenez La Hallebarde
pour une Suisse forte dans l'Europe nationaliste

À propos Hallebarde

Nous soutenir CHF

Nous écrire

lahallebarde@posteo.com

Nous suivre

Promotion Entraide