Une genevoise de 16 ans hait aujourd'hui ses parents à cause du sida mental LGBT
Cette idéologie doit être détruite à tout prix
Une fois de plus, les suppôts de Satan sont parvenus à détruire une famille suisse.
Voilà maintenant un peu plus d'un an que C., 16 ans, a été placé(e) en foyer sur décision de justice. Une situation que ses parents n'acceptent pas. Tout commence au printemps 2021 lorsque leur fille de 13 ans les informe qu'elle est un garçon. «Elle n'avait montré aucun signe auparavant», raconte le père.
L'école est devenue un lieu d'endoctrinement pour inciter des jeunes à se stériliser hormonalement et chirurgicalement, tout en les montant contre leurs propres parents considérés transphobes.
Le processus est bien ficelé. Les jeunes sont intensément exposés à cette infâme propagande destructrice puis se créent un sentiment d'appartenance communautaire en s'identifiant à un « genre » complétement artificiel vers lequel le système éducatif et médical les pousse à transitionner.
La famille domiciliée à Genève obtient une consultation aux HUG: «On nous a expliqué qu'elle souffrait de dysphorie de genre, affirme-t-il. Qu'il fallait qu'on commence à la traiter comme un garçon. On a dit qu'on voulait être sûrs avant de lancer tout le processus de transition. Ce à quoi on nous a répondu: vous devriez accepter!» Sans commenter le cas particulier, les HUG précisent que le protocole est strict et que le diagnostic ne peut être posé qu’après un suivi multidisciplinaire de plusieurs mois.
L'idée satanique de traiter une dysphorie de genre par un changement de sexe est plébiscitée par l'Association professionnelle mondiale pour la santé des personnes transgenres, le WPATH en anglais. Il s'agit de l'association transactiviste la plus influente au monde dans le domaine médical.
Or, cette association est totalement décrédibilisée depuis la sortie des WPATH Files, un rapport qui démontre que les documents publiés par cette officine de sidaïques n'ont rien de scientifiques, bien au contraire.
Traduction
Des fichiers fuités de WPATH révèlent des erreurs médicales généralisées sur des enfants et des adultes vulnérables à l'autorité mondiale de la santé transgenre.
Elle produit volontairement de fausses études pour accréditer leur projet de dénatalité par auto-mutilation génitale.
À l'automne 2021, les parents décident d'interrompre le suivi aux HUG et contactent une psychiatre privée afin d'avoir un second avis. Cette dernière conteste la dysphorie de genre et propose un suivi psychologique estimant que l'ado vit dans des différentes réalités. Découvrant que «la doctoresse a publiquement exprimé son opposition à la transition de genre» (comme précisé dans le jugement), C. refuse de poursuivre avec elle. Il est «nécessaire de choisir un thérapeute bienveillant et compétent pour les personnes transgenres», renchérit la Chambre de surveillance fin 2023.
Évidemment, lorsqu'un individu s'oppose à ce que vous considérez être votre particularisme ontologique, la réaction ne peut qu'être hostile.
Cependant, la détresse psychologique des femmes entre 15 et 24 ans joue sans aucun doute un rôle dans cette situation.
La corrélation avec les opérations de changement de sexe des vulves passant au phallus est parfaite.
En parallèle, à l'école privée, l'ado fait la demande pour la transition sociale (changement de prénom et de pronom). Les parents s'y opposent. La psychologue de l'école reçoit à son tour C. Au printemps 2023, «craignant un acte suicidaire de l'enfant» (comme l'indique le jugement), elle alerte le Service de protection des mineurs (SPMi). Hospitalisé, C. ne remettra plus les pieds au domicile familial. Ainsi en a décidé le TPAE, qui opte pour un placement en foyer.
Les associations LGBT négatrices de la biologie et de la vie estiment que le suicide est la conséquence de la non-reconnaissance de l'identité sexuelle d'une personne soi-disant trans, attitude qu'ils nomment « transphobie ».
Or, c'est bien évidemment du contraire qu'il s'agit. Cette fille souffre de profondes remises en question qui ont naturellement cours durant l'adolescence et les ennemis du genre humain profitent de ces moments de faiblesse pour instiller leur poison dans son esprit perturbé.
Une étude finlandaise très récente est parvenue à démontrer que le changement de sexe d'un jeune souffrant de dysphorie de genre n'avait pas d'influence sur son risque de suicide.
Traduction
Mortalités toutes causes confondues et par suicide chez les adolescents et les jeunes adultes ayant contacté des services spécialisés sur l'identité de genre en Finlande entre 1996 et 2019 : une étude de registre.
L'Association pour une approche mesurée des questionnements de genre chez les jeunes (AMQG) a relayé un article en français sur cette étude, nous vous recommandons de le lire et de suivre le travail de cette association.
«Je me sens impuissante, se lamente la mère de C. J'aime mon enfant. Elle n'a que 16 ans. Elle ne peut pas prendre une telle décision. Elle a besoin d'une mère, de sa famille.» Refusant d'être taxés de «transphobes» alors qu'ils travaillent dans les droits humains, les parents affirment vouloir protéger leur enfant. «Elle essaie désormais de faire sa transition légale et médicale. Les HUG et l'école la poussent dans ce sens. Le juge nous dit: vous devez accepter. Mais, cette enfant, on la connaît. Elle a besoin d'un traitement psychiatrique, d’un suivi psychologique et non pas d'un traitement hormonal», s'insurge le père, dénonçant un «endoctrinement» de l'ado.
Tout comme ces profs acquis à cette dégénérescence civilisationnelle, ces blouses blanches complices de ce génocide par transition méritent les pires châtiments.
Au Royaume-Uni, le « rapport Cass », publié cette année lui aussi, tend à confirmer les propos du père de la gamine.
Voici en résumé les 4 résultats les plus importants rapportés sur Wikipédia :
Résultats du rapport final
Augmentation des cas référencés
Le rapport final ne trouve aucune explication claire à l'augmentation du nombre d'enfants et d'adolescents souffrant de dysphorie de genre, mais indique qu'il existe un large consensus pour l'attribuer à un ensemble de facteurs biologiques et psychosociaux.
Les influences suggérées comprennent notamment les effets des réseaux sociaux sur la santé mentale, les abus sur mineurs, l'accès facilité à l'information concernant la dysphorie de genre, les difficultés rencontrée quand émerge l'orientation sexuelle et l'exposition précoce à la pornographie en ligne.
Le rapport considère que la meilleurs acceptation sociale des identités transgenres est insuffisante pour expliquer seule cette augmentation des cas référencés.
Transition sociale
Le rapport final classe la transition sociale comme une « intervention active » en déclarant que les enfants ayant effectué une transition sociale sont plus susceptibles de poursuivre leur transition médicale.
Le rapport recommande une approche prudente de la transition sociale et souligne la nécessité d'une participation clinique dans la détermination des risques et des avantages. Il souligne que cet accompagnement ne peut être assuré sans une formation clinique appropriée.
Bloqueurs de puberté
Le rapport final indique que les éléments justifiant la suppression précoce de la puberté restent flous, avec des effets inconnus sur le développement cognitif et psychosexuel.
Cette étude affirme que le manque de preuves significatives implique qu'aucune conclusion ne peut être tirée concernant l'impact des bloqueurs de puberté sur la dysphorie de genre et la santé mentale, mais qu'en revanche elle a trouvé des preuves que la santé des os était compromise pendant le traitement.
Thérapie hormonale
Le rapport final affirme que, malgré une utilisation de longue date chez les adultes transgenres, de nombreuses inconnues subsistent quant à l'utilisation du traitement hormonal chez les moins de 18 ans. Il relève que, concernant ces derniers, les données de suivi à long terme et les informations sur les résultats sont de qualité médiocre.
Le rapport relève qu'il devrait y avoir une « justification clinique claire » pour la prescription d'hormones avant l'âge de 18 ans.
De son côté, C. a indiqué aux autorités judiciaires être soumis à une «pression constante de ses parents visant à lui faire renoncer au changement de genre» et a souhaité rester en foyer. L'affaire doit encore être tranchée sur le fond.
Le clou du spectacle. Avec l'ensemble des institutions contre eux, les parents ont perdu leur enfant tout en passant pour les salauds de l'histoire. C'est un véritable système de substitution de l'enfant à l'autorité bienveillante de leurs parents pour les maintenir dans leur dépression liée à leur maladie mentale pour en faire des proies auprès des prétadeurs qui sont légions dans cette communauté de détraqués.
Mais comment ne pas être emplit de haine face à une telle situation ?
Sinon, pendant ce temps-là, du côté de Neuchâtel.
Cependant, comme nous l'avons vu au travers des études que nous vous avons présentées, 2024 est une année de contre-attaque en provenance des milieux scientifiques sérieux contre l'idéologie mortifère du genre.
Ce n'est que le début d'une immense révolte pogromiste, et tous ces dégénérés en sont les premiers responsables.