Après l'agression d'un Juif à Davos, la remigration devient un projet réalisable

Ce peuple n'est pas l'élu pour rien

Après l'agression d'un Juif à Davos, la remigration devient un projet réalisable
« Regarde Yosef, c'est l'avion qui remigre un antisémite »

Il est une réalité indépassable dans l'Occident démocratique : les Juifs sont des individus d'une valeur bien supérieure à celle des goyim.

Davos: embrouille orientale entre Juifs et métèques non identifiés
Encore une fois, foutez-moi tout ça dehors

Il suffit que l'un d'eux se fasse agresser par un bogmoule et tout le système se met en branle pour mettre sur la table le sujet de la remigration des demandeurs d'asile déboutés.

Même la Tribune de Genève, journal pas particulièrement connu pour être d'obédience fasciste, est forcé d'admettre ce que tout le monde sait depuis 40 ans.

Le journal se sachant sur la sellette suite à la restructuration de Tamedia, la rédaction se lâche. Malheureusement, l'article est en accès payant. Un internaute abonné a toutefois fait remarquer le commentaire de l'auteur suivant :

Il s’agit tout d’abord de reconnaître enfin qu’il s’agit d’une idéologie violente et antidémocratique qui doit être combattue au même titre que l’extrémisme de droite

Cela donne tout de suite moins envie de le lire. Bref, parcourons plutôt ensemble l'article du Matin.

Lematin.ch

La semaine passée, à Davos, deux requérants d'asile déboutés ont assommé un juif orthodoxe après avoir commis un vol. Mais ils sont à nouveau en liberté et ne peuvent être expulsés car ils n'ont ni passeport ni autres documents, rapporte la «SonntagsZeitung». Au total, près de 4500 demandeurs d'asile devraient actuellement quitter le pays en Suisse. Environ 2500 d’entre eux n'ont pas de passeport, selon le Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM). Dès lors, il revient aux autorités d’effectuer des recherches complexes à l'étranger avant leur renvoi.

Première question : pourquoi les 2'000 envahisseurs disposant d'un passeport n'ont-ils pas encore été dégagés du pays ?

Deuxième question : pourquoi les Suisses doivent-ils financer ces « recherches complexes » pour découvrir dans quel trou à rat renvoyer un bogmoule qui refuse de communiquer son pays d'origine ?

Certains ont soulevé l'idée de nouer un partenariat avec un pays tiers pour y déverser tous ces parasites.

Bien qu'elle permette de réduire la criminalité, cette mesure n'est pas sans coût économique à supporter par l'ensemble de la population.

Il me semble l'avoir déjà proposé, je suis un grand partisan du travail forcé dans des établissements prévus à cet effet, bâtis dans un canton à faible densité de population, comme les Grisons par exemple. Il faut bien concurrencer la main d'œuvre bon marché des Jaunes !

Mais la pression pour durcir la pratique en matière d’expulsions augmente en Suisse après que l’Allemagne a renvoyé pour la première fois cette semaine des criminels en Afghanistan par avion. Certains politiques ne voient pas pourquoi la Suisse ne ferait pas de même avec des requérants criminels issus de Syrie ou d'Afghanistan. C’est le cas des conseillers nationaux Martin Bäumle (PVL/ZH), Marianne Binder (Centre/ZH) ou Petra Gössi (PLR/SZ), cités par le journal alémanique. La Convention de Genève sur les réfugiés autorise d’ailleurs de telles exceptions lorsque la sécurité du pays d'accueil est menacée.

L'Allemagne a en effet pris une initiative révolutionnaire il y a peu. Nous rappelons à ce titre notre article sur le sujet des renvois de criminels Afghans.

Allemagne: le gouvernement autorise enfin l’expulsion des violeurs Afghans
Du haut des cieux, Tonton acquiesce

La Suisse doit maintenant affréter un maximum de charters pour coller à la Convention de Genève. Les cheveux sales d'un Juif ont été ébouriffés par un bogmoule peu hygiénique, la sécurité du pays est gravement menacée.

Dans la «NZZ am Sonntag» du jour, le sociologue néerlandais Ruud Koopmans plaide aussi pour un tournant en matière de politique migratoire face à la hausse de la criminalité et du terrorisme. Selon lui, notre système d'asile n'est plus adapté à la réalité actuelle. Car, il est basé sur la Convention de Genève relative au statut des réfugiés qui, après la Seconde Guerre mondiale, devait empêcher que les personnes persécutées pour des motifs politiques ou religieux ne soient plus jamais refoulées aux frontières et renvoyées vers une mort certaine. «Alors, les distances de fuite étaient courtes, on se réfugiait dans les pays européens voisins. Aujourd'hui, nous assistons à des flux globaux», remarque-t-il.

Comme pour la liberté de circulation, le droit d'asile a été pensé pour n'être appliqué qu'entre Européens. Avec l'invasion du continent que nos élites supervisent, ces instruments légaux deviennent des armes de destruction contre les autochtones.

Ces dispositions doivent être maintenues pour la seule communauté raciale que sont les Blancs d'Europe.

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