Compil' Tweet: la Suisse est au bord de la faillite
Ce pays est géré par des brêles
La Confédération est fauchée. L'administration fédérale doit trouver le moyen de réaliser des économies.
Pour gaspiller l'argent public au profit de la mafia de Kiev, il a été mis sur la table de taper dans les salaires des fonctionnaires. Évidemment, ces derniers ont hurlé de concert. Qui voudrait voir son salaire raboté pour le compte du Juif Zelensky ?
C'est tellement la misère que le Parlement veut prendre des mesures radicales : réduire le budget de l'aide au Tiers-monde.
Nicolas Walder, le visage de l'homosexualité du parti des Verdâtres, s'en scandalise :
J'en appelle à la responsabilité de la droite, qui j'espère sait qu'on ne peut pas seulement promouvoir l'économie, qu'il faut une certaine solidarité internationale.
Heureusement, les Jeunes Socialopes ont trouvé la solution : taxer les héritages de plus de 50 millions pour moitié.
Il est évident qu'un entrepreneur préférera s'établir dans un pays voisin (hors France communiste bien entendu) pour sécuriser son patrimoine.
Or, les Jeunes Socialopes ont tout prévu : taxer rétroactivement afin d'empêcher les entrepreneurs de fuir le pays dès lors que l'initiative aura été acceptée. On arrive gentiment au programme des bolcheviks.
Cette taxe est censée financer la transition écologique. Pour se passer des hydrocarbures et ainsi prendre soin du climat, on pourrait s'attendre à des transports publics meilleur marché, ceci afin d'encourager les gens à lâcher leur voiture. Malheureusement là aussi, les nouvelles ne sont pas bonnes.
Les prix des billets de train vont augmenter de 30% en l'espace de 10 ans.
Pour contrer le renchérissement du coût de la vie, l'Université de Saint-Gall semble avoir trouvé la solution. Les capitalistes pourraient exploiter les mères de familles, cette main d'œuvre bon marché qui rêve d'aller bosser pour trois francs six sous.
Pour sauver les meubles, le Ministre français de l'économie Bruno le Maire va se recycler en venant donner des cours d'économie à Lausanne.
Cette mutation dans la ville de la dilatation fait totalement sens. On rappellera un passage touchant du dernier roman de Bruno, « Fugue américaine » :
« Il lui arrivait de soulever son t-shirt gris pâle pour exhiber ses seins. “Tu as vu comme ils sont gros aujourd’hui ? Tu as vu, Oskar ?” Elle le retirait totalement, dévoilant dans le creux de ses aisselles des petits points rouges comme des piqûres de moustique. Elle me tournait le dos ; elle se jetait sur le lit ; elle me montrait le renflement brun de son anus : “Tu viens Oskar ? Je suis dilatée comme jamais.” »
C'est frais comme le printemps.
Mis à part ses talents littéraires, Bruno est surtout réputé pour être un autre Mozart de la finance. C'est un domaine qu'il maîtrise à la perfection.
Il avait prédit l'effondrement de l'économie russe.
Le problème avec les prédictions, c'est qu'elles ne sont pas toujours fiables à 100%.
La Russie génère tellement de fric qu'elle le redistribue allégrement aux classes moyennes et pauvres qui s'engagent dans l'armée.
Cette réalité tranche avec celle de l'empire du mensonge.
Vous voulez un métier d'avenir, devenez vous aussi spécialiste des démocraties fragiles.
Le domaine est en pleine expansion, nul doute qu'il n'y aura qu'à traverser la rue pour trouver du boulot très prochainement.