De la division de la «droite». Pourquoi nous sommes révolutionnaires

Et ce jusqu'à la victoire

De la division de la «droite». Pourquoi nous sommes révolutionnaires

À l'heure ou le camp nationaliste se fragmente sur des questions telles que l'Ukraine ou la Palestine, il est devenu indispensable d'adapter sa grille de lecture afin d'être en mesure de comprendre la nature des enjeux actuels.

Le premier constat est démographique

Prenons tout d'abord la pyramide des âges de l'Europe. En couleur, la situation à fin 2022. En transparent, les projections à fin 2100 :

Pour aller dans le détail de cette pyramide, voici les données par tranches d'âge de 2001 à 2022 et les projections démographiques jusqu'à 2100 :

Ces données proviennent d'Eurostat, difficilement accusable de conspirationnisme.

Il est admis que le taux de fécondité de 1.5 enfants par femme et les 30% de retraités d'ici à 2050 mèneront immanquablement les Européens à 4% de la population mondiale à horizon 2070, contre 6% en 2022. On est loin du suprémacisme.

Pour parfaire le tableau, ajoutez à cela l'immigration massive extra-européenne improductive et criminogène.

La part des jeunes blancs actifs sera réduite à peau de chagrin, ce qui rendra le système de retraite impossible à maintenir, entraînant des dysfonctionnements que les États ne pourront tout simplement plus compenser par des emprunts massifs auprès de la finance internationale. De plus, cette masse de vieux représentera un bloc électoral imbattable à la moindre tentative des jeunes générations à sortir de cette impasse par la voie démocratique.

Alors qu'elle représente déjà la réalité de la France, cette prémonition de la propagande allemande des années 30 deviendra réalité pour l'ensemble de l'Europe.

Après avoir pris connaissance de ces données brutes, il apparaît à toute personne se disant de droite un tant soit peu lucide que la solution ne réside ni dans un libéralisme qui nie par essence les intérêts collectifs, ni dans un conservatisme réactionnaire totalement dépassé par les évolutions techniques.

Ces conceptions passéistes restent enfermées dans un cadre conceptuel qui ne répond plus aux réalités que devra affronter l'Europe durant le XXI siècle, la première étant son remplacement par des populations de moindre qualité. Les capitalistes redoutant la baisse des profits comme la nature ayant horreur du vide, ce résultat dramatique est la conséquence logique de la dépopulation du Vieux Continent.

Une nouvelle dichotomie

Le seul et unique but de tout nationaliste blanc doit être tourné vers la sauvegarde de son peuple. Sans Européen, pas d'innovation permise par une économie libérale, ni de traditions entretenues par des mœurs conservatrices.

Cet objectif impérieux ne peut être atteint que par une volonté libérée des limites intrinsèques imposées par un système démocratique, de surcroît parlementaire, fief d'intrigues et terrain de jeux des lobbies ainsi que de toutes les puissances d'argent apatrides, dont la disparition des Blancs est la condition de leur domination.

Dès lors, une nouvelle conception au sein des hommes conscients des dangers qu'encourent les Blancs se matérialise sous la forme de la division réformistes / révolutionnaires.

Réformistes

Fatalistes pour ses détracteurs, pragmatiques pour ses disciples, ils tentent d'évoluer dans l'environnement du système qui cherche à les annihiler. Bien que cette stratégie permette de ratisser les normies encore convaincus par la mystique démocratique, nous pensons que cette droite n'aura d'autre choix que de se plier face aux exigences de la finance internationale, auquel cas elle sera lâchée par les mêmes qui l'auront soutenu dans le but de conserver leurs privilèges individuels.

En effet, ce système conçu pour flatter l'individualisme de l'homme ne peut que diviser la population en autant de catégories qu'il n'existe d'intérêts particuliers. En dernière instance, ces droitards seront obligés de trahir leurs idéaux dans le but de satisfaire leurs électeurs sans jamais parvenir à réaliser les réformes indispensables au redressement de l'Europe, ces dernières allant à l'encontre des volontés de la haute finance.

Le cas le plus emblématique à l'heure actuelle est sans doute celui de l'Italie « post-fasciste » de Meloni dont le gouvernement fait entrer plus de migrants que sous l'ère du banquier Mario Draghi.

L’Italie va délivrer près d’un demi million de nouveaux visas de travail non-européens - Le Temps
Le gouvernement italien ultraconservateur a annoncé vouloir délivrer près de 500 000 nouveaux visas de travail à des ressortissants non-européens, une mesure insuffisante pour un important syndicat qui a appelé mardi à un changement structurel face à la pénurie de main-d’oeuvre dans le pays

Résultat de la grande réformiste Giorgia Meloni, fille spirituelle de Benito Mussolini

Révolutionnaires

Traités d'idéalistes par ses adversaires, vu comme visionnaires par ses adeptes, les révolutionnaires désignent la démocratie de marché comme étant la source des problèmes qu'affrontent les Blancs. Elle s'inscrit en totale opposition à l'égalitarisme et l'horizontalité propre à ce système politique pour embrasser une vision organique et verticale des rapports entre les individus.

N'étant aucunement de nature tyrannique, les révolutionnaires estiment que le pouvoir doit revenir aux meilleurs éléments du peuple, soit à une aristocratie ayant fait ses preuves par sa bravoure et son honneur, et non à des opportunistes attirés par l'appât du gain. L'économie, pilier central d'une société consumériste, ne doit ni être contrôlée à la manière des soviets, ni libérée de toutes contraintes soumises au bien commun. Elle doit être planifiée en visant l'autarcie et des projets d'envergure continentale tout en étant tournée vers le progrès technologique.

C'est en adoptant une vision à long-terme et en mettant en œuvre les efforts et les sacrifices nécessaires pour y parvenir que les plus grandes idées se réalisent. Ce n'est que par la révolution que l'Europe pourra relever les défis mortels auxquels elle a déjà commencé à faire face.

Rompre avec le système actuel

Bien qu'il existe autant de peuples européens que de particularismes régionaux, tous appartiennent à une même communauté de destin.

Ce destin est actuellement entre les mains de financiers internationaux qui ont promis l'esclavage à Edom depuis des temps anciens. En voulant rester dans le champ démocratique, nous ne faisons que perpétuer la domination qu'exercent ces prédateurs sur nos nations empoisonnées par des valeurs matérialistes consécutives à la perte de notre spiritualité.

Seule la révolution nous sauvera.

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