Genève: le peuple vote pour interdire la méchanceté

Les Genevois viennent d'inscrire dans leur Constitution qu'il est dorénavant interdit de taguer des croix gammées.

L'origine de ce texte provient de l'énorme candaule de l'UDC Thomas Bläsi, qui tire sa culture antifasciste des terreurs provoquées par les récits de son grand-père, envoyé en camp de concentration pour avoir fait partie de la résistance durant la Seconde guerre mondiale.

«Il faut lutter contre ces néonazis décomplexés et très exposés!»

L’élu genevois UDC Thomas Bläsi veut interdire les symboles de haine dans l’espace public. Les Genevois voteront le 9 juin. Dans la «Tribune de Genève» de mardi, des opposants extrémistes expriment leur attachement aux emblèmes nazis. Thomas Bläsi y répond.

BlickLucie Fehlbaum

Le président de l'UDC Genève tient absolument à ne pas être assimilé au moindre soupçon qui pourrait faire penser à une once de racisme.

«L’UDC Genève ne veut ni rencontrer, ni parler avec ces extrémistes néonazis!»

Le président de l’UDC Genève, Lionel Dugerdil, se défend de tout lien entre son parti et des mouvements néonazis. La formation de droite et les extrémistes ne soutiennent pas la loi pour interdire les symboles de haine dans l’espace public, soumise aux urnes le 9 juin.

BlickLucie Fehlbaum

Peut-être cherchent-ils à se dédiaboliser suite à leur pétition pour faire fermer le centre de requérants d'asile ayant récemment ouvert ses portes à Plan-les-Ouates et qui a provoqué l'ire des habitants antiracistes.

Avec des lavettes pareilles, il n'est pas étonnant que toutes les lois antiblanches votées au Parlement suisse soient systématiquement approuvées par « l'extrême droite » genevoise.

Le Parlement adopte une nouvelle loi antinationaliste

Une institution de marionettes, rien de plus

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Une loi franchement indispensable

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N'hésitez pas à aller les saluer si vous passez au festival culinaire des réfugiés à Genève.