Italie: 6 ans de prison requis contre Salvini pour avoir tenté d'entraver le Grand remplacement
Seulement 6 ans ?
Les Blancs doivent accepter de disparaître en silence, auquel cas ils finiront en taule, aux côtés d'envahisseurs qu'ils auraient tentés de refouler.
6 ans de prison pour quiconque se met en travers du Grand remplacement, voilà le message de terreur envoyé par les procureurs démocrates à la plèbe italienne par l'entremise du procès de Matteo Salvini. Ces ennemis du peuple n'ont visiblement peur de rien.
Pourtant, la défense du territoire contre les tentatives d'invasion est un devoir lorsqu'on dirige un État sain, ce qui est tout sauf le cas de l'Italie et des pays européens.
Au moment de résumer son réquisitoire, le procureur Geri Ferrara, du tribunal de Palerme, a estimé «qu’un principe-clef n’est pas discutable : entre les droits de l’Homme et la protection de la souveraineté de l’Etat, les droits de l’Homme doivent prévaloir dans notre système heureusement démocratique».
Tout est dit par ce procureur aussi honnête dans ces propos que traître à sa race dans ses actes. Les Droits du sous-homme à envahir l'Europe sont consubstantiels à notre système malheureusement démocratique. Je n'aurais pas trouvé meilleure formule.
De toute façon, cette attitude de refus face à l'invasion n'avait servi à rien, puisque comme l'État de droit antiblanc prévaut, la justice avait annulé cette décision politique pourtant en adéquation avec les volontés du peuple italien traduite à l'époque par l'élection de Salvini, pourtant peu qualifiable de dictateur fasciste.
Au Royaume-Unis, les magistrats remplacistes aussi se font plaisir. Tout comme en Suisse, leurs prisons sont au bord de la rupture.
Cependant, il y a plus de 200 « émeutiers d'extrême droite » à mettre au trou depuis qu'ils ont eu l'audace de râler contre leur bourgeoisie cosmopolite à la suite de l'assassinat de trois fillettes blanches par un, ne m'excusez pas du terme, sale nègre rwandais.
Des criminels sont remis en liberté pour embastiller ces Blancs trop conscients d'être la cible de bêtes sauvages pour des raisons exclusivement raciales. Les conservateurs antiracistes qui n'y voient là que la conséquence idéologique de l'islam n'ont rien compris au film.
L’inspecteur en chef des prisons Charlie Taylor a assuré sur la BBC que le gouvernement «n’avait pas d’autre choix». D’autant que les émeutes d’extrême droite qui ont secoué le Royaume-Uni fin juillet ont aggravé la situation, avec plus de 200 personnes condamnées à de la prison ferme.
Qui de sérieux parmi ceux qui se revendiquent de « droite » peut encore nier que les élites occidentales sont en guerre totale contre les populations autochtones ?