Johanne Gurfinkiel, caricature du Juif haineux et calculateur
Plus juif tu meurs
Connaissez-vous Johanne Gurfinkiel ? Secrétaire général du lobby juif romand, il est connu pour passer sa vie à pondre des graphiques Excel en basant ses données sur le recensement des croix gammées taguées par des lycéens pour ensuite aller hurler à la hausse de l'antisémitisme sur tous les médias qui se prosternent devant ce Juif à lunettes de trotskiste.
Podcast : Selon Johanne Gurfinkiel, la Cicad fait face à un «raz-de-marée» d’antisémitisme https://t.co/L28pTB4ro4
— The Times of Israel (@TimesofIsraelFR) September 28, 2025
Il est difficile de rendre compte du niveau de fanatisme qui l’habite, se disant animé par une « mission prophétique ». Sans doute échange-t-il avec Jéhovah les jours de Shabbat.
Parmi l’interminable liste de ses défauts, l’hypocrisie est certainement celui qui figure en tête de classement. Dépenser toute son énergie depuis plus de 20 ans pour lutter contre l’extrême droite, soit à l’instinct de conservation d’un peuple autochtone, tout en se revendiquant identitaire Juif, voilà qui aurait de quoi faire passer le parlement pour une institution d’honnêtes gens.
De plus, sa propension à se considérer lui et sa race comme étant le centre de la Suisse (que dis-je, de l’univers !) le rend particulièrement imbuvable, tel une Vieille Prune oubliée sur le rebord d’une fenêtre et traversée par les rayons d’un soleil d’été caniculaire.
Voici un passage édifiant pris dans une interview accordée à Arcinfo suite à la tentative de meurtre d’un Juif orthodoxe à Zürich en mars 2024 par un Bogmoule de 15 ans, naturalisé en 2015 :
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A mes yeux, cette actualité aurait dû faire la une de tous les médias nationaux dès le lendemain. Le fait que cela n’ait pas été le cas interroge. Car il ne s’agit pas d’un fait divers, mais d’une attaque antisémite claire.
Le fait qu’un tel événement n’a pas généré de sursaut national est un vrai problème, parce qu’il met en lumière un manque de conscience de la gravité de la situation. Or, cet épisode n’est que la pointe émergée de l’iceberg: si les Juifs sont identifiés comme des cibles privilégiées par des personnes affiliées à des groupes de terrorisme islamiste, ils ne seront pas les seuls visés. N’importe quel citoyen suisse pourrait être le suivant.
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L’éminent membre du peuple élu Gurfinkiel n’en a strictement rien à foutre de la vie des Goyim qui « manquent de conscience », auquel cas il n'aurait pas eu l'indécence d'oublier de mentionner les précédentes victimes du terrorisme en Suisse, à savoir l’assassinat d’un Portugais à Morges et la tentative d'assassinat contre des femmes à Lugano.
Juif agressé au couteau à Zurich: «Cette attaque aurait dû générer un sursaut national», clame Johanne Gurfinkiel https://t.co/D6IabYv9A6
— Le Nouvelliste (@lenouvelliste) March 6, 2024
Cette attaque aurait surtout dû générer un sursaut des Juifs pour lutter contre l'immigration extra-européenne, la seule qui représente à l'heure actuelle, comme l’admettent les gros gauchistes de chez Watson, un danger contre leur intégrité physique, comme par ailleurs contre celle de tous les Suisses.
Mais au lieu de faire amende honorable en admettant l’irresponsabilité d’une telle politique qu’ils ont eux-même approuvée, ces Juifs demandent, que dis-je, exigent ! encore plus d’argent pour leur sécurité (à vos frais, nous le verrons plus loin) ainsi qu’un endoctrinement encore plus lobotomisant pour vos enfants, un « plan d’action national ». Au passage, l’utilisation du terme « national » par le Juif cosmopolite Gurfinkiel est encore plus abusive que l’étiquette « radical » dont s’affuble le PLR.
Mieux encore, ces Juifs sont parvenus à criminaliser l’utilisation de mèmes à symbolique nazie, car au fond, le vrai problème, c’est l’extrême droite.
Swarya
Le Juif Gurfinkiel préférera 1’000 fois vivre en Enfer, soit dans une Suisse postnationale devenue une bauge raciale tiers-mondisée et ultra-surveillée, plutôt que dans un pays ethniquement homogène. Cette perspective le terrifie, lui qui voit en chaque Blanc fier et droit dans ses bottes (bruyantes) un Nazi en puissance, prêt à le gazer, lui et sa communauté.
Donc, ce Juif s'indigne du peu de réaction quant au sort de ses compatriotes à kippa. Exposer ici l’ensemble des raisons de cette indifférence ferait de cet article un réquisitoire bien trop long, tant elles sont nombreuses. En voici déjà trois qui ont fait l'objet d'analyses sur notre média :
Swarya
Swarya
Swarya
Pour parfaire le tableau, nous citerons encore quelques titres des articles publiés par la Fédération Suisse des Communautés Israélites (FSCI), le lobby juif principalement actif en Suisse alémanique, qui se suffisent à eux-même pour expliquer en grande partie cette apathie qui est tout sauf spécifiquement helvétique :
- Les Juifs suisses se prononcent pour l’extension de la norme pénale contre le racisme.
- Devant le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, le président de la FSCI a exigé que la Suisse établisse une stratégie contre l’antisémitisme.
- Les organisations faîtières juives disent non à l’initiative pour l’autodétermination.
- Réagissant à un rapport de l’Office fédéral de la justice, la FSCI et la PJLS réclament, dans un premier temps, l’interdiction des symboles nazis.
Un peuple ne se sentira jamais solidaire d’étrangers qui s’organisent et s’impliquent corps et âmes dans la destruction de sa nation. Bien au contraire, il ne fera que nourrir des ressentiments face à ce qu’il perçoit, à juste titre, comme de l’ingratitude vis-à-vis de sa bien trop grande tolérance.
Pour terminer sur un stéréotype qui n’en est pas un, à savoir les Juifs et l'amour pour le fric, parcourons la chronologie des aides financières qu’ils perçoivent sur le travail de l'ensemble des citoyens :
- 2019 : les lobbys juifs obtiennent une aide annuelle de 500'000 francs, tout en souhaitant agir pour ne plus apparaître comme des quémandeurs d'argent. Quel voeu pieux.
- 2023 : après des années de requêtes incessantes s'apparentant à du harcèlement, la Confédération finit par céder et porte à 2'500'000 francs le budget d’aide à la sécurité des Juifs.
- 2024 : l’attaque du Hamas le 7 octobre 2023 permet aux Juifs de faire doubler la contribution, la portant ainsi à 5'000'000 francs. Jackpot !
- 2025 : Yahvé transformera les impôts des goyim en taxe pour la protection du peuple élu pour les années 2026 et 2027. 6'000'000 francs, nombre hautement symbolique.
Inutile de préciser qu’une aide complémentaire a systématiquement été exigée aux échelons cantonaux et communaux. Aucune caisse n'est à omettre pour satisfaire l'avarice du Juif.
Sans oublier le mémorial de la honte des victimes du national-socialisme prochainement érigé à Berne, à charge du contribuable pour la modique somme de 2'500'000 francs et qui sera, à n'en pas douter, tout aussi immonde que les blocs de béton coulés à Berlin.
Tous les Juifs présents en Suisse approuvent-ils l'activisme de ce Gurfinkiel et autres associations juives ? Se rendent-ils compte que ces derniers sont les premiers responsables de la montée de l'antisémitisme en Suisse ?
Il serait grand temps qu’ils se manifestent pour nous prouver qu’on ne puisse parler que d’une minorité agissant abusivement au nom de l’ensemble de la communauté, que l'on sache si tous doivent être mis dans le même sac et déclarés ennemis du peuple.
Ce numéro de théâtre hébraïque a assez duré.
