La Conseillère d'État Marianne Binder, marionnette des Juifs
Traîtresse intégrale à sa race

Il est temps de reparler de cette boomeuse antifa qu'est Marianne Binder, Conseillère d'État du canton d'Argovie. Bien qu'évoluant au sein du parti du Centre, elle est probablement l'une des figures politiques les plus nocives du parlement.
Cette nocivité a pour origine la servilité absolue dont elle fait preuve envers la juiverie. Son plus brillant fait d'arme à l'encontre de son propre peuple est d'avoir fait passer l'interdiction des symboles du contre-sémitisme aryen dans l'espace public.

En outre, elle ne fait qu'harceler le Conseil fédéral qu'elle accuse de ne jamais en faire assez pour servir ses maîtres chez qui elle accourt chaque jour de Shabbat pour tenir la position auprès des interrupteurs. Voyez plutôt :
- Doutes quant à la neutralité des condamnations systématiques à l'égard d'Israël
- Condamnations unilatérales d'Israël prononcées par l'ONU. Que fait la Suisse?
- Condamnation systématique d'Israël par l'OMS et approbation des résolutions par la Suisse en dépit de sa neutralité
- Antisémitisme et incitation à la haine systématiques dans le matériel pédagogique de l'UNRWA
- Conflit entre Israël et le Hamas. Appréciation par la Suisse d'Israël en tant qu'État reconnu et du groupe Hamas
- Le double jeu du Hamas concernant le droit à l'existence d'Israël
- Actes de nature raciste et antisémite en lien avec la pandémie de Covid-19
- Condamnation ferme du Troisième Reich. Interdire sans exception les symboles nazis dans l'espace public
- Se distancer officiellement de l’accusation d’apartheid contre Israël
- Bases de données factuelles pour la lutte contre le racisme et l'antisémitisme
Même le serpent d'Éden ne rampe pas avec autant d'allant que l'idolâtre Marianne.

En avril 2024, le parlement des eunuques avait acté la suprématie juive sur la politique du pays.

Suite à ce triomphe hébraïque, la vipère Marianne s'est empressée d'émettre une motion parlementaire :
Lors de la session d’été 2024, l’Assemblée fédérale a chargé le Conseil fédéral d’élaborer une stratégie et un plan d’action contre le racisme et l’antisémitisme (motion CIP-N 23.4335). Les aides financières accordées aux projets de lutte contre le racisme diminuent mais la motion de la CIP-N précise expressément que le Service de lutte contre le racisme doit « être doté de ressources suffisantes afin d’être renforcé ».
Le Service de lutte contre les autochtones est une énième structure bureaucratique qui édite d'inutilement longs rapports décrivant l'infinie malveillance des Suisses dont les données très largement surévaluées proviennent principalement d'organisations juives, et ce dans le seul but d'accréditer ces dernières.
Quoi qu’il en soit, les projets issus de la société civile (et souvent du privé) agissent directement sur le front, c’est-à-dire efficacement. Pourtant, dans le budget 2025, les ressources sont tombées au-dessous de 900 000 francs et au deuxième semestre, les fonds d’aide sont taris, ce qui est en contradiction avec l’évolution de la situation en Suisse.
En effet, le rapport sur le racisme du Réseau de centres de conseil pour les victimes du racisme et le rapport sur l’antisémitisme de la Fondation contre le racisme et l’antisémitisme et de la Fédération suisse des communautés israélites soulignent tous deux la forte augmentation des actes racistes et antisémites.

La crise déclenchée au Proche-Orient par l’attaque du Hamas et amplifiée par la guerre à Gaza, en particulier, a des répercussions négatives sur la paix sociale en Suisse. Les minorités qui vivent dans notre pays n’ont pas à se défendre seules contre les manifestations de haine, cette tâche incombe à l’État et à l’ensemble de la société.
Les contributions à la sécurité des minorités religieuses affectées aux bâtiments et au personnel de sécurité sont importantes mais insuffisantes, car une grande partie des actes de discrimination ont lieu en dehors des établissements religieux (paroles antisémites lors de manifestations ou dans le contexte scolaire, par exemple).
Il faut donc non pas réduire mais augmenter les aides financières aux projets de la société civile. Un budget annuel d’environ deux millions de francs, qui n’aurait bien entendu vocation à être épuisé que s’il existe suffisamment de projets à soutenir, paraît judicieux. Il serait sans incidence sur la taille et sur la charge de travail de l’administration fédérale.
Le budget sera judicieusement consommé dans son entièreté, n'en doutez pas un instant. Tant que le con de goy accepte de payer, pourquoi s'en priver ?
Et cela s'ajoute naturellement aux 6 millions, non pas de gazés, mais de francs offerts gracieusement aux Juifs que le Conseil fédéral a promis pour les années 2026 et 2027.
Cette motion a bien entendu été adoptée par le Conseil des États, sur recommandation explicite du Conseil fédéral.
La juiverie cherche à créer l'équivalent d'une Tchéka soviétique sur le sol helvétique chargée de traquer le moindre signe d'insoumission et nul doute qu'elle y parviendra, aidée d'un peuple indifférent et de laquais aussi zélés que la vieille Binder.