La Pologne autorise ses soldats à tirer à balles réelles sur des envahisseurs marrons
Pour une fois, les Polaks me font plaisir
Je ne suis pas du tout admirateur des Polonais et leur rôle d'incendiaires sur le continent au service de l'Amérique juive. Loin s'en faut.
Cependant, il faut leur reconnaître une certaine forme de radicalité lorsqu'ils l'estiment nécessaire.
Vendredi dernier, le Parlement polonais a élargi le droit des forces armées d'ouvrir le feu "de façon préventive" et à balles réelles sur quiconque tenterait de violer la frontière en levant la responsabilité pénale des soldats.
Cette décision ne vient pas de nulle part. Fin mai dernier, un migrant avait assassiné un jeune soldat polonais qui tentait de protéger ses frontières.
On récolte ce que l'on sème. Cela me rappelle un passage dans une très belle religion de paix et d'amour :
« Tu ne jetteras aucun regard de pitié : œil pour œil, dent pour dent, main pour main, pied pour pied. »
Deutéronome 19:21
En Pologne catholique, on est loin de tendre la joue.
Cette décision inquiète fortement les humanitaires sur place. "En voyant quelqu'un dans la forêt, on n'est pas en mesure de dire s'il représente une menace ou s'il s'agit d'une personne fuyant un pays en guerre qui cherche juste à survivre", rappelle l'activiste humanitaire Kasia Mazurkiewicz. "Il faut les traiter comme des humains. Et on ne tire pas sur des humains."
Pays en guerre ou pas, cette mesure radicale a le mérite de dissuader les ennemis de l'Europe de tenter de l'envahir par son flanc Est.
Et bien sûr que si, on tire sur des humains. Cela ne fait jamais plaisir, c'est moche, mais c'est le principe même de la guerre. Rien n'est plus exaspérant que la naïveté des activistes blancs immigrationnistes.
Avec son association d'aide aux personnes migrantes, elle arpente régulièrement la forêt à la frontière polono-biélorusse. Mais elle craint désormais pour sa propre sécurité: "On sauve des vies humaines mais on a peur de se faire fusiller en portant secours aux autres."
Depuis que la RTS a quitté Twitter sous des jets de tomates pourries, le monde se porte mieux.
Cependant, son allant pour rapporter les jérémiades des sans-frontiéristes aux prises avec des nationalistes désireux de protéger leur nation n'a pas faibli.
Les tensions sont ainsi au plus haut cet été entre les forces armées et les activistes. En 2024, plus de 18'000 personnes ont déjà tenté de traverser illégalement la frontière. La zone tampon, elle, restera en vigueur au moins jusqu'au 13 septembre.
Rien que pour la Pologne en 2024, 18'000 envahisseurs ont tenté de pénétrer sur notre territoire, couteaux entre les dents, prêts à planter nos fils et violer nos filles.
Du côté du Danemark aussi, on prend des mesures drastiques pour sauvegarder l'avenir des peuples blancs.
Les mauvaises langues qui prétendent que cette problématique n'est pas comparable avec celle que traverse la Pologne ne comprennent rien à la gravité de la situation qui doit s'apprécier de manière holistique.
En effet, les bovins lâchent des caisses hautement chargées en méthane, et celles-ci sont tout aussi néfastes pour la survie des Européens que les lames des envahisseurs du Tiers-monde.