La Suisse et l'Allemagne se déchirent sur la répartition des migrants
Je vous le donne en mille : le problème, c'est la démocratie
S'époumoner en chantant « Ausländer Raus » n'est pas de nature à modifier les vues de nos élites sur le problème migratoire.
Depuis l'attaque au couteau à Solingen, en Allemagne, celle-ci a renforcé ses contrôles aux frontières. Un tour de vis qui concerne également la Suisse, puisque, en vertu d'un vieil accord entre les deux pays, les policiers allemands sont autorisés à entrer sur le territoire suisse, notamment entre la gare de Bâle et la Badischer Bahnhof, qui constitue un poste-frontière vers le nord.
Je suis heureux d'apprendre qu'un accord autorise la police allemande à envahir l'État voyou helvète, fief à islamistes qui laisse passer en Allemagne des éléments radicaux porteurs de tranchants couteaux. Les panzer devraient carrément être mobilisés face à une telle menace aux frontières du Reich.
Or le barrage douanier qui s'y trouve barre la route à des centaines de personnes chaque mois, représentant une grande partie des quelque 1200 personnes refoulées mensuellement entre les deux pays, révèle la «NZZ». Si les agents estiment qu'elles n'ont aucune chance d'obtenir l'asile en Allemagne, elles sont alors remises aux services suisses, où elles peuvent alors faire leur demande. Il n'existe cependant pas de statistique sur le nombre de personnes qui le font, indique la Confédération.
Les dés seraient d'ailleurs pipés, puisque le questionnaire distribué par la police allemande ne comporte pas l'option de demande d'asile, selon le «Spiegel». Si ces personnes s'enregistrent, par exemple, sous «voyage pour le travail», elles n'ont effectivement aucune chance d'obtenir l'asile.
«La Suisse risque de se retrouver avec des migrants sur les bras parce qu'elle applique le droit de la migration à la lettre, alors que ses grands voisins s'en moquent de plus en plus», réagit Thomas Kessler, ancien responsable de l'intégration du canton de Bâle-Ville, à la «NZZ». La conseillère aux États Petra Gössi demande d'ailleurs la fin de cette pratique. «Il est choquant que des fonctionnaires allemands interceptent des migrants sur sol suisse et que nous devions ensuite nous occuper d'eux.» Elle appelle donc le ministre chargé de l'asile, Beat Jans, à négocier fermement avec Berlin.
« Des migrants sur les bras » ? Voilà un langage bien fascisant employé par ce boomer PLR qui d'habitude prône une Suisse cosmopolite et progressiste.
Tout comme la bosniaque ultra haineuse Sanija Ameti, il est adhérent à Opération Libero, l'association antisuisse financée par le juif Soros.
Mais ce qui est choquant, c'est ce manque d'enthousiasme de ce parti à respecter les Droits de l'homme, pourtant si prompt à les invoquer lorsqu'il s'agit d'exploiter de la main-d'œuvre étrangère bon marché.
En même temps, personne n'attendait d'un libéral qu'il remette en question la seule présence en Europe de races hostiles aux Blancs.
Dès ce lundi, l'Allemagne va renforcer ses contrôles aux frontières afin de mieux lutter contre l’immigration illégale. Une mesure qui fait réagir l'Union européenne et certains pays voisins comme la Pologne, puisqu'elle contrevient aux règles de l'Espace Schengen et de la libre circulation des personnes.
Le gouvernement polak souffre de schizophrénie. Il y a tout juste deux mois, nous saluions l'autorisation accordée à ses garde-frontières d'utiliser la force létale pour empêcher toute incursion sur son territoire.
La haine atavique qu'il entretient envers les Boches semble avoir raison de sa capacité de discernement pourtant déjà bien réduite depuis le conflit OTAN-Russie.
Face à ce tour de vis, le PLR a invité le Conseiller fédéral Beat Jans à «se réveiller» afin de faire de même. Interrogé par la «NZZ», le conseiller national UDC Pascal Schmid ironise lui aussi sur cette réintroduction, puisqu'il s'agit d'une pratique que son parti appelle de ses vœux depuis longtemps. «On nous a toujours prévenus que ça violerait les règles de l'Espace Schengen. Je suis donc curieux de savoir quand l'Allemagne en sera exclue.»
Le PLR peut encore attendre longtemps, Beat a prévu de faire la grasse mat' à ce sujet.
Une fois atteint l'espace Schengen, il devient impossible aussi bien moralement que physiquement de renvoyer ces mâles en âge de combattre car ce serait « incompatible avec nos valeurs ».
Ce jeu de chat-perché géant va très mal se terminer et témoigne de la nécessité de dépasser l'étroitesse du nationalisme étatique, impuissant face à un problème d'ordre civilisationnel pour épouser un nationalisme continental basé sur un critère autrement plus fonctionnel que celui s'arrêtant aux frontières d'une nation, celui de la race.
Ce n’est pas seulement nos terres qu’ils envahissent, mais tout notre continent. Ce ne sont pas simplement nos frères qu’ils assassinent, c’est notre sang qu’ils cherchent à éradiquer.
La révolution nationaliste européenne que nous appelons mènera à son unification centrée sur la préservation et le développement de son patrimoine biologique. L'alternative démocratique antiraciste est l'extinction pure et simple de la race blanche.