Zuckerberg annonce vouloir rétablir la liberté d'expression sur ses réseaux sociaux
L'effet Trump ne s'est pas fait attendre
Le milliardaire juif dont l'expression faciale est aussi inexistante que la liberté dont jouissent les utilisateurs sur ses plateformes, est en bien mauvaise posture depuis l'élection de Donald Trump.
Ce maître dans l'art de la cancel culture avait déjà avoué avoir servi la cause des élites démocrates américaines durant le Rhume-19 en bloquant les discours coronasceptiques de ses plateformes.
Helvète solide
Il est maintenant si inquiet pour son avenir qu'il a affirmé à travers une vidéo vouloir faire de ses plateformes Meta, véritables prisons de la pensée unique, un espace de libre expression.
En résumé, le lézard hébraïque à bouclettes annonce quatre changements majeurs :
- Remplacement des fact-checkers par des notes de la communauté : les fact-checkers sont des médias mandatés par Meta dont le but est de vérifier la pertinence des informations qui circulent sur Facebook. Celles-ci seront maintenant accompagnées de notes que peuvent ajouter les utilisateurs, comme le fait déjà Musk sur X. Les journalopes sont déjà en train de s'offusquer dans leurs colonnes, et c'est très drôle.
- Simplification et nouvelle approche des politiques de contenu : soit un adoucissement considérable de la censure, notamment sur des sujets comme le genre ou l'immigration, que Mark la frisette qualifie lui-même d'incritiquables.
- Rétablir le contenu civique : Zuckerberg nous apprend qu'il veillait au bien de sa communauté en supprimant volontairement des publications politiques afin de réduire le stress de ses utilisateurs qui s'affrontaient virtuellement dans les espaces commentaires. Vous vous doutez bien que le contenu démocrate devait certainement passer entre les mailles de ses filets. Mais rassurez-vous, tout ça est maintenant de l'histoire ancienne.
- Déplacer ses équipes chargées de la confiance, de la sécurité et du contenu hors de Californie : connu pour être l'État de la dégénérescence absolue, le choix de Zuckerberg s'est maintenant porté sur le Texas, État républicain par excellence.
Même si tout ça semble positif et bénéfique pour notre cause, ne nous laissons pas duper par ce manipulateur dont les seuls intérêts, comme tout Juif qui se respecte, sont personnels et financiers.
Quoi qu'il en soit, la politique de Trump et de Musk semble déjà avoir un effet positif sur les éternels ennemis de la liberté d'expression.
Reste maintenant à savoir si Zuckerberg honorera ses dires (j'en doute).
