La santé, un système de corruption créé pour être inchangé
Ce n'est pas le parlement qui s'en plaindra

Quel plaisir de se faire insulter gratos de bon matin par le journaliste antifa Eric Felley.
Saviez-vous que le peuple votait mal ?

Et qu'il puait du cul ?
Par honnêteté, nous précisons que ce passage est totalement sorti de son contexte
J'ai peine à le dire, mais Eric la pleurniche a raison, le peuple vote mal. Cependant, plutôt que de considérer que cette fatalité est due à la stupidité des gens, comme semble le penser Eric, j'accuse le système dans son ensemble d'être la cause de cette situation ubuesque dans laquelle le peuple vote contre ses intérêts.

La démocratie est un théâtre entre politiciens d'apparence distincte créant l'illusion d'une opposition entre des partis au service d'un même projet cosmopolite encadré par la finance internationale.
L'impératif électoral du processus démocratique implique l'approbation artificielle des masses dont l'opinion est sans cesse travaillée par les médias tout autant inféodés aux puissances d'argent.

Le parlement est un nid à vipères opportunistes stipendié par des acteurs économiques appliquant le premier principe du capitalisme qui est de générer des profits avant de s'occuper du bien de la communauté.
En Suisse, le secteur de la santé est sans aucune comparaison possible le plus influent sur ce système politique totalement perméable aux activités de lobbying auprès de parlementaires corrompus.
Le système de santé suisse dispose d'un puissant lobby dans la Berne fédérale. Blick dévoile quels parlementaires s'engagent pour quels groupes d'intérêts. https://t.co/U6JrN6MO8c
— Blick | fr (@Blick_fr) May 4, 2024
Lorsqu'on tente d'en savoir plus sur les pots-de-vin qu'ils touchent, tous ces profiteurs font bloc pour maintenir leurs électeurs dans l'opacité la plus complète, invoquant des excuses tout aussi bidon que le Parti communiste révolutionnaire.
Les parlementaires fédéraux renoncent à être plus transparents sur leurs revenus https://t.co/XBy5aeXAKw
— Le Temps (@LeTemps) May 28, 2024
Suivant son intuition politique, le peuple a bien compris que ces parasites favorisaient leurs intérêts personnels au détriment de la communauté. La confiance qui leur est accordé s'effondre.

Le 9 juin, le peuple qui vote mal va devoir se prononcer sur deux objets concernant le domaine de la santé. Comme d'habitude, ces initiatives ne partent pas d'une mauvaise intention mais sont systématiquement, soit bâclées pour terminer dans le cimetière des idées merdiques socialisantes, soit torpillées par des lobbyistes qui s'amusent à parlementer sur leur temps libre.
Et lorsqu'une de ces idées merdiques socialisantes comme la 13e rente AVS est acceptée, elle manque totalement sa cible, laissant sur le carreau les individus pour qui une aide aurait eu un réel impact sur leur situation financière.
Précarité des aînés: Les rentes des retraités dans le besoin n’augmenteront pas https://t.co/27Ad1EbLgU
— 24 heures (@24heuresch) May 29, 2024
Résultat, le statu quo est maintenu, les parlementaires continuent d'être arrosés de jéroboams de pinard et le peuple de puer encore plus du cul.
D’après les prévisions de Comparis, les primes de l’assurance de base augmenteront en moyenne de 6% en 2025 https://t.co/xyOGFmjf9l
— Le Matin (@Lematinch) May 23, 2024
D'ailleurs, le peuple sent tellement de la raie que Big Pharma s'autorise, sans pression, à accuser le franc fort d'être responsable des prix des médicaments crevant le plafond.
En Suisse, les assurés paient nettement plus cher leurs médicaments que dans les pays voisins. Cette différence, déjà massive, a quasiment doublé. La faute au franc fort, selon Interpharma. Santésuisse demande aux politiques d'agir. https://t.co/1vUK0T8h1O
— Blick | fr (@Blick_fr) May 31, 2024
C'est encore sans compter le poids que fait peser l'immigration dans la hausse des coûts de la santé.
Sur ce point, le patronat, voyant en chaque métèque le nouveau cotiseur de demain, persiste et signe : l'immigration est une chance pour la Suisse.

Si tel était le cas, on n'assiterait pas à une levée de bouclier dans le temple du mensonge du parle-ment lorsqu'on évoque la question.
Malgré l’insistance de l’UDC, on ne saura pas combien un étranger coûte au système de santé https://t.co/JLID1mIA6d
— Le Temps (@LeTemps) May 30, 2024
Bref, vous l'aurez compris, le capital et le politique travaillent main dans la main pour maintenir leurs privilèges tout en ruinant les efforts durement menés par l'ensemble de la population productive.
La paupérisation générale et des poursuites pour factures non réglées sont les conséquences logiques de ce mauvais spectacle démocratique.
Les primes maladie impayées atteignent de nouveaux sommets https://t.co/iSrfi7Jg3C
— 20 minutes (@20minutesOnline) May 28, 2024
La solution à ce problème existe. Nous avons besoin d'une caisse unique en prenant bien soin d'y dégager tous les parasites.
En somme, il faut une caisse nationale-socialiste.