Les Tunisiens plébiscitent la Suisse pour l'immigration

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Les Tunisiens plébiscitent la Suisse pour l'immigration

Le Blick a mené une enquête qui, contrairement au 95% des articles qu'ils publient, mérite d'être étudiée.

Blick.ch

Depuis des années, de jeunes hommes originaires du Maghreb donnent beaucoup de travail à la police locale. Ils sont les principaux responsables des vols de véhicules, dont le nombre a presque doublé l'année dernière en Suisse, comme le montrent les dernières statistiques criminelles de la Confédération. C'est pourquoi Blick est parti à la recherche d'indices en Tunisie afin de savoir ce qui motive ces jeunes hommes.

Encore cette semaine, des bicots ont tenté de semer les flics entre Neuchâtel et la Chaux-de-Fonds avec une voiture qu'ils venaient de voler.

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Il s'est avéré que la plupart veulent partir et beaucoup veulent venir en Suisse. Wajdi (17 ans), un jeune coiffeur, n'est pas une exception. «Si je ne trouve pas de travail de coiffeur là-bas, on peut très bien voler et dealer chez vous», a déclaré Wajdi au journaliste de Blick. Il n'a pas du tout peur d'être arrêté. «Vos prisons sont tellement luxueuses», poursuit le Tunisien.

Ce passage vaut de l'or, d'autant plus écrit dans les colonnes du Blick. On ne peut que saluer l'honnêteté de ce Tunisien.

Le chef de l'UDC et conseiller national Marcel Dettling ne peut que secouer la tête face à de telles déclarations. L'enquête du Blick sur la Tunisie confirme ce que son parti met en garde depuis des années. «De jeunes hommes, originaires entre autres des pays du Maghreb, viennent en Suisse et y restent, tout simplement. Beaucoup d'entre eux commettent des vols, harcèlent les gens, perpètrent des actes de violence. Il y a tellement d'abus», constate Marcel Dettling. «Et s'ils sont pris, ils peuvent être retenus pendant 24 heures au maximum.»

Voler, harceler et violenter font effectivement partie du quotidien des bogmoules dont la génétique a été gravement affectée par des siècles de consanguinité. Cet invariant est connu et même admis par les protagonistes, les faire venir relève du crime contre la population.

Je l'ai dit et le répète : l'ennemi n'est pas le sous-homme, mais celui qui l'importe.

Tout cela montre, selon lui, que les revendications de son parti ne sont pas que des chimères. C'est précisément pour cela que l'initiative sur la protection des frontières est nécessaire. Pour le chef de l'UDC, c'est limpide: «Les frontières doivent être protégées, l'admission provisoire doit être abolie.»

Le minimum. Je serais davantage partisan de drones mitrailleurs patrouillant sur la Méditerranée et armes laser à détection de taux de mélanine le long des côtes européennes.

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Damian Müller, conseiller aux États PLR et spécialiste de la politique étrangère, a lui aussi des mots très clairs: «La Tunisie est une bombe à retardement. Il faut bien sûr aider sur place, mais les besoins dépassent les moyens disponibles. La situation politique et économique en Tunisie est catastrophique».

C'est le cas de tout le continent africain.

Bombe à retardement
L'enquête de Blick montre qu'il existe un effet d'attraction, c'est-à-dire une attirance particulière de la Suisse pour les demandeurs d'asile du Maghreb. Certes, Müller ne veut pas, comme l'UDC, fermer immédiatement les frontières. Mais il déclare que «nous devons maintenant faire avancer le thème des renvois!» Selon lui, c'est sur ce point que le Secrétariat d'État aux migrations (SEM) doit concentrer ses efforts. «C'est la seule façon de réduire certains flux d'asile.»

Le Parlement a par exemple demandé au SEM de négocier des renvois par voie maritime vers l'Algérie. Mais le SEM refuse de mettre en œuvre ce mandat. Toutefois, pour Müller, il est certain que «l'effet dissuasif ne fonctionne pas sans des expulsions efficaces et surtout rapides».

Avec des hôtels en guise de prisons et des cibles faciles se pavanant avec des montres à plus de 20 plaques, l'effet d'attraction est en effet total à côté des perspectives qu'offre le métier de coiffeur à Sfax.

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Un renvoi vers la Tunisie dans les 48 heures, comme pour les Italiens par exemple, aurait un effet préventif, selon Müller. Là aussi, le Conseil fédéral fait des annonces qui ne sont pas suivies d'actes, parce que le SEM ne veut tout simplement rien faire. «Mais nous devons montrer aux habitants de notre pays que nous appliquons la politique migratoire de manière conséquente», déclare Müller.

La Suisse compte parmi les États les plus performants en matière d'exécution des renvois en Europe et elle a conclu des dizaines d'accords pour renforcer la coopération en matière de retour avec d'autres États, a déclaré en mars le ministre de la justice Beat Jans.

Le pauvre SEM est tantôt décrit comme une officine fasciste par les gauchistes, tantôt comme une ONG immigrationniste par l'UDC.

Quoi qu'il en soit, il paraît que la Suisse est « performante » dans l'expulsion des indésirables. Nous vous renvoyons à notre étude sur le sujet afin de vous faire votre propre idée.

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